1. Le projet artistique (49)


    Datte: 28/02/2023, Catégories: Partouze / Groupe Auteur: Yojik, Source: Xstory

    ... Il en feuilleta un puis un autre et s’arrêta sur une image. Il retourna la revue et me montra la photo en pointant du doigt un des modèles.
    
    — C’est toi ça, non ?
    
    C’était bien moi. L’image était tirée du tournage avec Roberto. Je savais que des photos étaient diffusées dans certains magazines pour faire la promotion des films. C’était le cas ici. Je respirai, il m’avait reconnue comme actrice de charme et non comme fugitive !
    
    — Mmmh, oui, c’est bien moi.
    
    Il fit un signe de victoire à ses hommes et un large sourire orna son visage.
    
    — Un petit autographe vous ferait plaisir ? tentai-je.
    
    Sans attendre de réponse, je pris un stylo sur le bureau et signai "Ursulla Wagner" de mon nom de scène. Il parut satisfait en inspectant la signature, mais aussi déçu. Je vis qu’il voulait certainement profiter un peu de la situation. Si cela pouvait me permettre de passer...
    
    — Voilà. On peut en finir maintenant ?
    
    — Euh, un instant. Avec les hommes, on se demandait. Cette taille de machin, là. C’est habituel dans votre milieu ? Parce que ça fait un peu bestiau d’élevage.
    
    — Non pas trop. Normalement, je tourne avec des sexes, normaux". Et je préfère d’ailleurs."
    
    Il parut alors réfléchir à la suite à donner. Il voulut reprendre en main son téléphone, mais sembla hésiter :
    
    — Merci pour l’autographe, mais il faudrait vraiment que j’appelle...
    
    Il appuya le mot "autographe" d’une moue dédaigneuse puis reprit :
    
    — ... sauf si je pourrai avoir un peu plus qu’une ...
    ... signature.
    
    Je compris qu’il voulait abuser de moi, mais je ne le voyais pas de cet œil :
    
    — Alors, comme toute actrice, j’ai un contrat et je suis payée quand je tourne. Je ne suis pas une pute...
    
    Le sous-officier sembla décontenancé par ma rebuffade, il pensait sans doute que j’étais une fille facile ou une pute justement. Il avait aussi sans doute supposé que la menace d’appeler ses supérieurs allait me faire peur. Mais il se reprit vite et me répondit calmement :
    
    — Je ne te prends pas pour une pute et il va falloir me parler sur un autre ton, car j’ai été plus que courtois ! Allez, j’appelle !
    
    Il décrocha et commença à composer un numéro. Je fis comme si je cédais à un enfant capricieux plutôt que de montrer la terreur qui me tenaillait les entrailles. Je levai les yeux au ciel et soupirai de lassitude :
    
    — Bon, ça me prendra toujours moins de temps que de devoir repasser par vos chefs et toute la paperasserie administrative.
    
    Son sourire revint et il raccrocha. L’homme recula son fauteuil et attendit que j’approche. Ce qu’il voulait était clair. Je fis le tour du bureau et vins me mettre à genoux devant lui. J’ouvris sa braguette et sortis son sexe. Il était à moitié bandé déjà. Je le branlai un peu, quelques effluves de transpiration et d’urine me piquaient le nez, mais rien d’insurmontable. Alors, je le pris en bouche et lui appliquai la meilleure fellation de sa vie. Ce fut ce que j’en conclus de ses exclamations :
    
    — Oh, oui. Oh la vache, c’est bon. ...
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