1. La version de Bambou Couleur


    Datte: 27/02/2023, Catégories: fh, fhh, fplusag, hagé, jeunes, extracon, candaul, gros(ses), grossexe, douche, amour, cérébral, odeurs, Oral init, extraconj, Auteur: Vopicek, Source: Revebebe

    ... aiment bien quand je les trais.
    
    Simultanément, il m’a amené chez une vieille professeure qui m’apprend beaucoup de choses que j’ignore. J’avale son enseignement comme une éponge, elle est stupéfaite de mes capacités de mémorisation et de logique. Mais il n’y a pas que la tête qui se remplit, avec la nourriture abondante et saine, je prends rapidement du poids, je grandis d’une quinzaine de centimètres très rapidement et comme je dois travailler assez dur à la ferme, je m’étoffe les muscles en plus de ceux que je m’étais faits au camp de Daech.
    
    Marika me regarde souvent avec des yeux tout doux, j’aime son regard sans parler du reste, elle est mon idole.
    
    Très rapidement, je suis scolairement prêt à suivre les cours du lycée, à nouveau, rien ne me semble très difficile, à la grande joie de mes professeurs, mais celui qui est le plus surpris, c’est celui d’éducation physique, il n’en revient pas de ce que je peux faire sans trop de peine.
    
    J’oublie de préciser que mes parents adoptifs ont loué pour moi un studio pour que je sois plus près du lycée et Marika vient tous les quinze jours me faire le ménage et nous rentrons ensemble.
    
    L’équipe locale de rugby, sur recommandation du prof d’exercices physiques, m’a accepté. Ce sont de vrais amis, avec le cœur sur la main pour tout membre qui aurait des problèmes. Vu mon agilité et ma puissance, ils me mettent en centre avant et au premier match, en récupérant un ballon perdu, je réussis à le mettre juste derrière les buts ...
    ... marquant l’essai, et ensuite, d’un coup de pied magistral, je le transforme. J’y crois pas, c’est le délire. Nous prenons l’avantage sur nos adversaires juste avant la mi-temps. Au coup de sifflet, Marika se jette dans mes bras.
    
    J’adore quand Marika me prend dans ses bras et que je sens cet amour presque maternel, il y a un petit rêve de bonheur qui trafique mes neurones. Mais là, il se produit quelque chose d’incompréhensible, une espèce de choc électrique, je sens que ce qui occupe ma culotte de rugby se tend d’une manière inconvenante et Marika qui se frotte dessus avec son bas-ventre, sans faire exprès, ne fait rien pour calmer ce délire, j’ai un peu peur que quelqu’un voie mon trouble.
    
    À partir de là, je ne la vois plus de la même manière, à la maison, dès que nous sommes seuls, je recherche le même délire que j’avais eu, j’essaye que l’on se frotte l’un l’autre, parfois elle se plie au jeu et finit avec un teint rouge comme une tomate et elle s’enfuit.
    
    L’année se finit rapidement avec succès, je pense que mon père, ma mère et ma sœur qui sont aux cieux doivent être fiers de moi. J’ai quand même un petit coup de blues en pensant à eux, mais vite la vie reprend ses droits.
    
    C’est à mon anniversaire de dix-huit ans, pendant ma dernière année de lycée que les choses se sont précisées. Elle m’invite pour fêter mon anniversaire à sortir avec elle le soir, ça, elle me l’avait dit à l’avance alors je m’habille en conséquence avec mon plus beau costume, celui que j’ai ...
«1234...»