1. Le narrateur cède la place à la narratrice


    Datte: 27/02/2023, Catégories: fh, extracon, cocus, candaul, amour, revede, Voyeur / Exhib / Nudisme caresses, Oral pénétratio, confession, Auteur: Nanou2, Source: Revebebe

    ... de toutes mes forces. Il ne peut pas se contenir plus longtemps et, dans un grand spasme, il éjacule. Je sens son sperme jaillir dans mon vagin, à longues giclées chaudes et douces pendant que son sexe soubresaute en moi. Je serre encore et encore avec quelques mouvements plus lents, mais, après un dernier spasme, il se relâche complètement et se retire de moi. Un homme qui a joui est vite sensible… Je sens le sperme couler hors de mon sexe.
    
    Je l’embrasse dans le cou puis je me laisse glisser sur le côté, curieusement, ou heureusement, je ne ressens pas du tout le besoin de tendresse post coït alors qu’avec Jean, la suite de l’acte d’amour est aussi importante, câlins, tendres caresses, discussions, mais là, c’est mon amant, pas mon amoureux !
    
    Après quelques instants, je me lève, lui prends la main et le tire hors du canapé :
    
    — Allez viens, on change de lieu.
    
    Et je l’entraîne jusque dans la chambre, notre chambre à Jean et moi, cette chambre que je vais désacraliser, ce lit que je vais souiller au cours de cet étreinte adultère. La pensée me fait frémir d’excitation, mince, mon mari déteint sur moi !
    
    J’arrache le couvre-lit, je me jette sur la couette, me mets sur le dos les bras en croix, les jambes largement écartées, la poitrine haletante et je lui lance :
    
    — Baise-moi comme une chienne, comme à l’hôtel !
    
    Il n’en demande pas plus et se rue sur moi. Son érection est revenue, aussi belle et volumineuse que tout à l’heure. Il m’écrase de tout son poids ...
    ... pendant qu’il se couche sur moi. Il saisit sa verge d’une main, la guise vers mon sexe et me pénètre brutalement, comme un soudard. D’un seul coup mon vagin est irrémédiablement forcé, sensation de brûlure à la fois douloureuse, mais en même temps tellement merveilleuse, il s’enfonce totalement et commence à me pilonner sans pitié, sans égard pour ma fragile personne. Je ne suis qu’une poupée pantelante entre ses bras pendant qu’il se déchaîne et accélère encore son rythme. J’ai beau essayer de contrôler mes réactions, mon corps s’embrase, ma chatte n’est plus qu’un feu qui me consume tout entière, je ne vois même plus Yann au-dessus de moi, je ne sais plus qui est sur moi. Mon corps n’est plus que le réceptacle de cette énorme verge qui me défonce et m’emmène vers la jouissance, je ne suis plus qu’un vagin en feu, je vais jouir, je vais j…
    
    J’explose dans un torrent de plaisir, je crie des choses incohérentes, je le supplie d’arrêter, je l’implore de continuer, je halète, je crie encore.
    
    Je sens que Yann se retire et se relève, il m’attrape, me mets à genoux, pousse mon visage contre l’oreiller, il passe derrière moi et je sens sa verge glisser le long de mes fesses.
    
    — Non ! Pas ça ! pas derrière !
    
    Il essaye d’insister, aussi je me laisse retomber sur le côté.
    
    — Non, pas par derrière, je ne veux pas.
    
    Il grogne, mais accepte ma décision :
    
    — Alors en levrette, remets-toi à quatre pattes.
    
    Je m’exécute, il revient derrière moi et je le sens frotter son sexe ...