1. Ma tante et sa fille complotent contre moi (7)


    Datte: 03/09/2018, Catégories: Inceste / Tabou Auteur: Petronus, Source: Xstory

    ... échange !
    
    Ce que nous fîmes. Je m’installai au volant. Je n’avais pas conduit depuis longtemps. J’eus du mal à trouver le point de patinage, et calai plusieurs fois. Camille se pencha sur moi en posant de nouveau sa main sur ma cuisse – heureusement, ma queue était de l’autre côté.
    
    — Il faut te détendre, tu es crispé, c’est pour ça que tu débrayes trop vite et cale. Détends-toi… Regarde-moi Chris…
    
    Elle posa ses deux mains de part et d’autre de mon visage. Ses yeux plongèrent dans les miens. Le temps s’arrêta. Et elle se pencha pour poser un délicat baiser sur ma bouche, auquel je répondis sans attendre. Un baiser très classique, mais qui me réchauffa. Quelque chose d’authentique, enfin.
    
    — Réessaye maintenant. Qu’on aille au chaud chez moi pour que je me douche et qu’on mange enfin !
    
    Je réussis. Elle habitait à un quart d’heure d’ici. Elle me félicita pour ma conduite, disant que je me débrouillais très bien. Juste avant un passage un peu dangereux, elle posa sa main sur ma cuisse pour me dire de faire attention. Une fois la courbe négociée avec brio, elle me sourit et fit glisser sa main sur ma braguette, qui rapidement se déforma sous son massage expert.
    
    — A partir de maintenant c’est que de la ligne droite et des feux… Je pense que tu peux gérer même avec une légère perturbation, non ?
    
    En prononçant ce « non » provocateur, elle sorti ma queue de mon boxer et couinant comme une petite fille…
    
    — Uuuuh salut toi… dit-elle en s’adressant à mon gland ...
    ... qui était juste sous son nez. Elle l’embrassa du bout des lèvres. « Tu m’as manqué, oh oui… tu m’as beaucoup man… » et elle goba mon gland et quelques centimètres de ma bite.
    
    Comment vous décrire ce trajet ? C’était génial, vrai-ment gé-nial ! A chaque feu rouge, je me penchai pour caresser une partie de son corps : ses hanches qui étaient mise en avant à cause de sa posture courbée sur le côté, ou bien je me frayai un passage pour glisser ma main sous son débardeur pour masser un de ses seins. Camille, elle, était concentrée sur sa tâche. Elle était complètement absorbée, tandis qu’elle m’absorbait. Nous arrivâmes rapidement chez elle, je me garai et elle n’en démordait pas. Elle me pompait avec volupté et s’appliquait. Visiblement, elle était triste que je n’aie pas encore jouis. Je lui dis qu’on aurait tout le loisir de finir chez elle.
    
    Dans l’ascenseur, elle m’embrassa comme une chienne en me disant qu’elle voulait de nouveau sentir mon sperme remplir sa bouche, mais que cette fois elle voulait m’entendre râler, crier, me libérer véritablement.
    
    — Appuie sur le 12 ! Personne n’y habite. Je veux te terminer dans l’ascenseur…
    
    Je m’exécutai, et elle tomba à genoux pour me sucer de plus belle. Ses mains passaient sous mon t-shirt pour griffer mon corps. Elle avait du mal à avaler tout mon chibre mais l’enfonçait le plus loin qu’elle pouvait. A chaque fois elle s’auto-tamponnait. Et à chaque fois, vision féérique, elle me fixait avec ses grands yeux amandes en se ...
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