1. Ma tante et sa fille complotent contre moi (7)


    Datte: 03/09/2018, Catégories: Inceste / Tabou Auteur: Petronus, Source: Xstory

    ... 10 secondes durant lesquelles je m’imaginais à ses pieds à lécher son leggins…
    
    Juste avant que nous n’arrivions au rez-de-chaussée, il me releva la tête avec deux doigts et m’indiqua le numéro 8 et désigna la droite avec son pouce… 8ème étage, porte de droite… Plus qu’un étage, il me caressa la joue et fit glisser son pouce sur mes lèvres, que j’aspirai dans ma bouche pour y goûter, le sucer le temps d’une fraction de seconde… Ding ! Il me sourit et suça son pouce légèrement recouvert de ma bave, en souriant. Il avait des cuisses colossales et un cul magnifiquement musclé. J’avais envie de lui courir après et devenir son esclave, sa petite chienne, être serré dans ses bras puissants et pleins, me sentir tout petit, être passif après avoir été le maitre de ma tante Jeannine…
    
    Les portes se refermèrent et Camille revint à la vie en se collant contre moi, son visage à quelques centimètres de mon visage, cachée sous sa capuche.
    
    — Ouuf, on a eu chaud !
    
    - Ton haleine sent la bite… c’est très excitant, répondis-je en l’embrassant tendrement.
    
    - Hmmm tu me rends folle… Vite, rentrons à la maison.
    
    Une fois chez elle, du fait des rideaux, des lumières tamisées, du soleil qui commençait doucement à pointer le bout de son nez, et surtout grâce à la douche que s’offrit Camille, nous basculâmes dans un moment d’une douceur exquise et inattendue. Je feuilletai sa collection de manga et m’installai sur son canapé pour en lire un. Elle me rejoint en peignoir, s’allongea tout ...
    ... contre moi, et commença à embrasser mon cou. Je laissai tomber le manga pour m’occuper d’elle, la serrer contre moi tandis qu’elle s’endormait tranquillement, murmurant des mots doux.
    
    Je m’endormi moi aussi. Une petite heure. J’avais fait ma nuit moi, contrairement à elle. Je lui laissai un mot doux, lui disant que je rentrai à la maison car j’avais à faire (courses de Noël, derniers achats, préparation de la maison etc.). Je lui promis que nous nous verrions cette nuit ou le lendemain. Je ne sais pas pourquoi, je lui laissai mon boxer… Il sentait assez fort… Je me dis que ça pourrait lui plaire si jamais elle avait un élan d’excitation au réveil, la bite tendue…
    
    Je fermai la porte avec précaution, et patientai devant l’ascenseur. Mon téléphone m’indiquait 35 minutes de marche, en coupant à travers bois… Heureusement que j’avais un jean plutôt souple et des Nike, je pourrai les faire en courant, et ainsi ne mourrais pas de froid (instant dramatique !). L’ascenseur était occupé, je descendis donc les escaliers.
    
    Au 8ème étage, je ralentis. Lentement, je fis le trajet entre l’ascenseur et le couloir qui partait à droite. Il y avait plusieurs appartements le long de ce couloir. Mais le deuxième et le dernier affichaient des noms plutôt hispaniques, ce qui ne correspondait pas avec mon grand sportif inconnu. Ce devait donc être le premier, logique. Je fouillai mes poches mais évidemment je n’avais ni stylo ni bout de papier. J’aurais dû être plus malin et préparer un mot ...
«1...3456»