1. L'éveil d'une coquine


    Datte: 26/02/2023, Catégories: fh, copains, voiture, amour, intermast, Oral confession, prememois, Auteur: Volupta, Source: Revebebe

    ... Sous ses airs d’ange, Marc est un fripon et ne perd jamais une occasion pour me peloter, mais il le fait si délicatement et c’est si bon que je ne lui refuse rien. Allongés côte à côte, nos bouches sont collées l’une à l’autre, j’ai chaud et ce n’est pas forcément à cause du chauffage de la voiture, j’ai aussi un peu bu et l’alcool me monte à la tête. Marc est tellement serré contre moi, que je sens ses cuisses sur les miennes et surtout la grosse bosse dans son pantalon contre mon bassin.
    
    — Caresse-moi, me susurre-t-il à l’oreille.
    
    À travers son pantalon, je caresse son sexe, qui me semble long et fort, mais je ne suis pas une spécialiste. Je suis vierge et ma connaissance de l’anatomie des garçons se limite à celui de mon petit frère lorsque je changeais ses couches et de quelques « touchers » à travers le pantalon de mes ex petits copains comme celui que je pratique en ce moment à Marc. Mon expérience en kiki s’arrête là… mais j’aime l’effet que cela produit, le sentir vibrer et grossir à travers l’étoffe, écouter le souffle court du garçon dans mon oreille.
    
    — Prends-moi dans ta main, me susurre-t-il à nouveau.
    
    Là, c’est une première pour moi, je suis surprise de la demande, mais à la fois émoustillée et curieuse, l’alcool me désinhibe. J’entreprends donc, sans trop réfléchir, de déboutonner la braguette de son jean, de passer la main sous son caleçon et prendre l’objet long, dur et chaud qui se trouve à l’intérieur. Étonnée par ma propre lubricité, d’instinct ...
    ... je le caresse et dégage d’un geste sûr le prépuce du gland. Sa langue se bat furieusement avec la mienne, sa main me palpe le sein à pleine paume, et son doigt s’enfonce encore plus dans mon berlingot déjà bien humide. Nous nous caressons comme des fous, je suis bouillante de fièvre, Marc m’embrasse goulûment, me mord les lèvres, c’est si bon. Combien de temps cela dure-t-il ? Je ne sais pas, mais suffisamment pour nous mettre en transe. Il se relève, s’assoit sur la banquette, dans le noir je ne vois rien j’entends juste un bruit de vêtement. Puis le son de sa voix :
    
    — Viens !
    
    Mes tempes bourdonnent au point d’exploser, les bouts de mes seins sont durs comme de l’acier et me font presque mal, mon ventre à de légers picotements et de mon sexe suinte un liquide poisseux qui ne me vient que lorsque parfois je me caresse jusqu’au plaisir, seule dans mon lit. Jamais je ne me suis sentie aussi bien. Je m’approche de lui à genoux sur la banquette, les effluves d’alcool flottent encore dans mon crâne, sa main se pose doucement sur mes cheveux. D’un geste sûr, mais sans forcer il me dirige entre ses cuisses, je me laisse faire, ne sachant pas ce qu’il veut, mais en confiance. Je devine où je suis lorsque mon visage touche son sexe nu, je comprends le bruit de vêtement, il s’est déshabillé. Nullement effrayée, je m’allonge à plat ventre, pose ma tête sur ses cuisses et continue de pratiquer la caresse que j’avais abandonnée. C’est la première fois que je suis aussi près du sexe ...