1. L'éveil d'une coquine


    Datte: 26/02/2023, Catégories: fh, copains, voiture, amour, intermast, Oral confession, prememois, Auteur: Volupta, Source: Revebebe

    La voiture roule dans la nuit, conduite par Dominique qui a son permis depuis peu et son père lui prête sa vieille 403 hors d’âge, mais qu’importe on a une auto pour nous sortir et puis Marc et moi sommes à l’aise sur la banquette arrière pour nous bécoter.
    
    Nous sommes en plein dans les années hippies, nous nous contentons de choses simples. Cette fois nous avons été loin, dans une boîte sympa et pleine de filles, paraît-il. Comme je suis la seule fille du groupe et déjà prise, les garçons voulaient s’amuser un peu, se trouver une copine. Ils ont dansé, dragué, mais le résultat ne fut pas au rendez-vous. Le retour risque d’être long sur ces petites routes de campagne, surtout que la vieille guimbarde ne dépasse pas les 80 km/h et encore, mais il y fait bon et par cette froide nuit d’automne c’est très agréable, pour tout dire je ne suis pas pressée, Marc embrasse bien et je l’adore…
    
    Depuis le départ, Marc m’a serrée contre lui, il sent bon malgré l’odeur de fumée collée à sa chemise, il ne fume pas, mais dans la boîte la fumée de cigarette est si dense qu’elle vous en irrite la gorge et imprègne vos vêtements. Je pose ma tête sur son épaule et niche mon visage dans son cou, il me caresse doucement la joue, puis se retourne pour déposer sur mes lèvres un doux et tendre baiser jusqu’à ce que nos langues s’emmêlent à n’en plus finir. Je sors avec Marc depuis six mois, nous nous voyons chaque jour, mais sommes rarement seuls tous les deux. Il ne nous reste que les ...
    ... week-ends que nous partageons avec Dominique et Christian.
    
    Notre petit groupe se connaît depuis la maternelle, mais Marc fut toujours mon préféré. Il est beau, gentil, et j’aime sa façon de parler. Ce n’est pas mon premier flirt, nous nous connaissons depuis si longtemps que nous n’avions jamais pensé que notre amitié cachait une attirance l’un vers l’autre, jusqu’au jour où, durant la fabrication d’un char pour la fête locale de notre petite ville, nos mains se frôlèrent en collant chacun une fleur de papier crépon sur la grosse charpente de grillage métallique que nous devions recouvrir. Premier réflexe de gêne cachée par un sourire idiot, puis nos mains se touchèrent encore, mais plus longtemps, jusqu’à ce qu’il me prenne doucement la main et qu’il me regarde avec cette infinie tendresse qui me fait craquer à chaque fois.
    
    Le ronronnement du moteur nous berce, Christian s’est endormi, épuisé par les jerks endiablés, Dominique est concentré sur la route, déjà peu bavard, là il est carrément muet. Marc m’embrasse à bouche que veux-tu, je sens sa main partir en exploration, je le laisse faire, ce n’est pas la première fois. Elle est passée sous mon pull puis sous mon soutien-gorge, et caresse doucement la pointe d’un de mes seins qui durcit aussitôt sous le contact de ses doigts froids, mais j’aime bien. Son autre main passe sous ma jupe se glisse dans ma culotte, se pose sur ma petite chatte puis un de ses doigts entrouvre la porte de mon jardin secret, ça aussi j’aime bien. ...
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