1. Mon Nouvel Oncle (3)


    Datte: 26/02/2023, Catégories: Gay Auteur: Calinchaud, Source: Xstory

    ... cette pause avec une impatience que j’essayais de montrer très sage... !!!
    
    L’arrêt tant désiré, où nous pourrions nous repaître de notre désir, inassouvi depuis plusieurs jours. J’étais enfin dans ses bras, le caresser de partout, mes mains furetant dans tous ses poils, descendant jusqu’à l’objet de ce fabuleux membre odorant, concentré de testostérone et de phéromones, qui nous liait, qui faisait la jointure de nos deux corps pour n’en faire plus qu’un.
    
    Je l’ai savouré, je m’en suis délecté, le caressant, le léchant, alternant les simples coups de langue sur son gland, prolongé sur toute l’immense longueur de son sceptre, jusqu’à la caresse fatale qui, je le savais, le faisait toujours craquer. Mes doigts aux ongles toujours un peu longs, attisant, à petits coups, ce monstre de chair.
    
    Il ne lui a pas fallu très longtemps pour que le mâle dominant reprenne le dessus. Pendant qu’il appuyait sur mes épaules pour que je le prenne en bouche, le tube de Vaseline était très vite sorti de sa poche, enduisant l’orifice de mon calice, mais aussi, son intérieur. En quelques secondes, il m’a courbé sur le capot encore chaud de la voiture, pantalon baissé et a pris ...
    ... possession de ma fente, ouverte et humide, n’attendant que la saillie de son homme.
    
    Il est entré en moi d’un coup, me perforant au 2/3 de sa longueur et cherchant à aller encore plus profond encore. Je voulais autant que lui l’avoir entièrement en moi. Il y était presque parvenu, seul manquait la base, vraiment hyper-large pour que je puisse encore parvenir à le sentir en totalité, avec ses couilles si volumineuses tapant enfin sur mes fesses.
    
    Il nous a fallu trois accouplements, où à chacun d’eux, il a pu se déverser au fond de mon calice, tant notre manque était intense pour nous deux. Enfin apaisé, on va dire, en partie le connaissant, nous avons repris la route jusqu’à arriver au « Cabanon ». Ma foi... Une construction en dur, avec un grand salon et cuisine attenante et une super chambre... Ce n’était pas vraiment ce j’avais dans l’esprit, je pensais plutôt à une simple cabane en bois et j’étais agréablement surpris de ce cadre qui allait être le nôtre pour une semaine. Tout ça, au bout d’un chemin et juste au bord de l’eau. Magnifié par ce paysage, je me suis retourné vers Claude, mes mains sur lui, mes lèvres sur les siennes :
    
    — J’ai envie... !!! 
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