Mon Nouvel Oncle (4)
Datte: 25/02/2023,
Catégories:
Gay
Auteur: Calinchaud, Source: Xstory
... enfance à Marseille, pas vraiment facile. Même si son père était Officier militaire supérieur et français, il restait quand même assez souvent le « nègre » dont on se méfiait un peu. Il avait été assez volubile sur son père, sa famille ivoirienne, assez nombreuse dont une partie résidait toutefois en France. Avec sa subtilité naturelle, il n’évoquait qu’à petites touches sa mère, qu’il adorait, ne souhaitant pas raviver des blessures encore fraîches. Mais par ses quelques mots, j’ai pu comprendre que ma grand-mère était bien loin de la « femme de mauvaise vie » que l’on m’avait décrite et que son passé, avec mon grand-père, avait été bien loin d’une partie de plaisir.
Son deuxième mariage l’avait rendue heureuse, épanouie, comblée par la naissance de Claude, même si Camille restait toujours présente dans son esprit et dans son cœur, sauf qu’elle n’en parlait jamais.
Après ce thé rédempteur, et une balade aux alentours, main dans la main, la fringale s’est fait sentir et nous avons rejoint notre nouveau nid. Inspection du frigo où les Tupperwares remplis de plats préparés par ma mère abondaient, je me suis mis à la cuisine, pour le repas. Nous avons dîné en amoureux, avec caresses, câlins, bisous, mais dévorant nos assiettes aussi. Il faut dire que ma mère a toujours été une excellente cuisinière, et elle nous avait gâtés.
Estomacs bien remplis, nous avons pris place sur le banc à l’extérieur, moi avec mon thé, et lui avec une bière fraîche. Sans qu’on se le dise ...
... ouvertement, nous avions décidé de mettre de côté tout ce contexte assez particulier, dirons-nous, pour ne profiter que de l’instant présent, de cette semaine que nous allions partager ensemble, sans contrainte.
Sans l’avoir fait exprès, j’ai remonté mes genoux sur ma poitrine, sans trop me rendre compte que mon T-shirt avait suivi, offrant à ses yeux mon orifice qu’il aimait tant, semi-ouvert, et suintant à la fois des restes de son passage, mais aussi de l’humidité de mon désir. Il n’en a fallu pas davantage pour que je constate à nouveau cette raideur dans le short de mon mâle, qui me semblait encore plus énorme qu’auparavant depuis qu’il soit enfin parvenu à me posséder en totalité. Ses bras puissants m’ont entourée, portée jusqu’à la chambre, sur ce lit qui allait être « conjugal » pendant quelques jours. Vous dire que j’avais hyper-envie de lui ne serait qu’un doux euphémisme...
Mais je voulais surtout le savourer, le déguster, des pieds à la tête, me refusant à lui jusqu’à le rendre fou de désir. Mes doigts, aux ongles toujours un peu longs se frayaient à travers sa toison, jusqu’à atteindre son sceptre, bandé comme jamais, dont j’attisais encore l’érection par ma langue entourant son gland, le parcourant de bas en haut, le griffant sensuellement à petits coups, de caresses subtiles de mes ongles qui agissaient comme des décharges sur son membre.
Le connaissant, j’étais passé à la salle d’eau auparavant, me nettoyant en profondeur et j’avais copieusement enduit ma ...