Mon Nouvel Oncle (4)
Datte: 25/02/2023,
Catégories:
Gay
Auteur: Calinchaud, Source: Xstory
... écrin. Il effectuait de longs va-et-vient, comme pour entretenir l’ouverture et la souplesse de ma corolle. Comme quoi, je pense que la plupart des vrais passifs diraient la même chose, c’est aussi dans la tête que cela se passe. J’ai eu des fois très mal avec des sexes moyens, mais avec Christian d’abord et Claude ensuite, malgré leurs tailles hors du commun, mon corps et mon esprit les acceptaient, les désiraient. Ce lieu paradisiaque, hors de Nice et de notre univers souvent caché m’a sans doute permis d’ouvrir toutes mes barrières, tant psychiques que physiques, de les lâcher complètement. Dos sur la table, cuisses largement ouvertes sous ses assauts, je hurlais de plaisir.
— Prends-moi, défonce-moi, possède-moi, n’hésite pas et vas-y hyper-fort.
Cette copulation a été très brutale, certes physiquement, mais surtout dans l’intensité du désir, du plaisir partagé, Claude craignant moins une douleur extrême de ma part, bien que très attentif à mes réactions, me faisait l’amour avec une puissance et une sensualité innées, que possèdent les mâles africains en eux. La pièce était imprégnée de cette odeur de rut, de sexe quasi bestial, dont nous avions trop besoin l’un et l’autre. Pour la première fois, j’allais enfin tout partager avec l’homme que j’aimais. Nos jours, nos nuits, nos loisirs, nos courses, bref tout ce qui constitue l’harmonie d’un vrai couple, conscient quand même que son appétit sexuel était hors du commun. Même si j’avais connu ça avec Christian, ce ...
... n’était rien par rapport aux besoins de Claude. (Il m’en a donné la raison plus tard, dans la semaine.)
Mon « Con » de mec adoré était mort de rire quand je me suis levé et qu’il a vu ma démarche claudicante en canard. Il m’avait bien déboîté la chatte et s’en trouvait très fier, mais surtout, de m’avoir procuré l’immense plaisir que j’avais ressenti. Je savais que c’était bien loin de la moindre moquerie de sa part, ses caresses, ses baisers doux et fougueux m’en donnaient la preuve.
J’avais eu du mal à me détacher de lui, comme lui de moi, tellement cette fusion de nos deux corps et de nos deux êtres était totale et magique, comme si aucun de nous deux ne souhaitait y mettre un terme. J’aurais voulu conserver tous ses fluides sur moi et en moi, mais il fallait quand même penser à mettre un peu d’ordre, ranger vêtements et nourriture. J’avais décidé de ne passer sous l’eau qu’après, voulant rester imprégnée de son odeur, et laissant son abondante semence s’écouler sur mes cuisses.
La douche n’était pas assez grande pour que nous puissions la prendre ensemble, et pendant que je me nettoyais de tout ce stupre, il a rapidement terminé de faire place nette. Il avait même pris le temps de me préparer un thé, servi sur la table basse devant le canapé, sur lequel je l’ai rejoint, revêtue uniquement d’un simple long t-shirt et me lovant contre lui.
Cette liberté de n’être qu’ensemble, lui a permis de se révéler un peu plus, lui si réservé d’habitude, me parlant de son ...