Hélène (40)
Datte: 24/02/2023,
Catégories:
Lesbienne
Auteur: rouge22, Source: Xstory
Hélène 40 : Maîtresse, deuxième partie
Elle sanglote doucement. Mais je n’en ai pas fini.
On délie ses mains, on la détache de l’anneau. Elle se relève et s’agenouille.
Nous nous lions par le regard. Sous sa cagoule, je peux voir que son rimmel a coulé, de même que son rouge à lèvres.
J’ai envie de fuir, de la planter là. Mais je lis dans ses yeux comme une supplique. Elle a choisi de se donner à moi. A moi, et à personne d’autre.
On pousse sur la scène une petite desserte. Dessus un crochet, et quelques embouts de taille et de design variés. Je choisis une boule d’environ quatre à cinq centimètres de diamètre, que je visse au métal recourbé.
Je lui présente l’objet de son supplice. Sans un mot, elle se retourne, se prosterne, et s’écarte, me livrant son orifice le plus secret. Je récupère un peu de sa liqueur intime, et je présente la sphère devant son anus. Je pousse. Son muscle résiste puis cède et enfin gobe la tête de métal. Au passage, j’entends un petit soupir dont je ne sais s’il est de plaisir ou de douleur.
Mel
Par instinct, je me suis d’abord crispée, puis je me suis relâchée. La boule d’acier envahit complètement mon rectum et touche toutes mes muqueuses, stimulant tous mes centres nerveux. Je remercie mon amie de m’avoir initiée au plaisir anal. J’adore être enculée par Hélène, c’est une double jouissance à la fois physique, mais aussi intellectuelle. Je me soumets à mon amante, en lui donnant ce qui est le plus secret en moi.
Je ...
... sais la douleur qui m’attend, mais je ne peux m’empêcher d’apprécier ce moment de soumission heureuse.
Hélène
Je la menotte dans le dos. J’attrape sa natte, et j’y emmêle un cordon que je relie à l’anneau du crochet. Je tire, elle se redresse et s’agenouille. Je continue ma traction, son dos se creuse. Je continue jusqu’à ce que la minerve bloque tout mouvement. On la pivote pour la placer face à moi. Sa tête est tirée en arrière, son cou, sa gorge sont exposés, offerts. Elle est cambrée, offrant sa poitrine à mes tortures. J’adore ses seins, ils sont ronds, lourds, avec de belles aréoles rosées, j’ai d’abord envie de les sucer, et immédiatement, de les mordre à pleines dents.
Je gante ma main droite et je m’empare d’une poignée de tiges vertes. Je la présente à ma victime. Elle me jette un regard affolé. Elle a reconnu les orties.
Avec douceur, je les passe sur la poitrine de ma belle. J’attends un court instant, puis Mel se débat, faisant danser ses seins. Des petites cloques apparaissent, alors, avec cruauté, je flatte les mamelons congestionnés par les bijoux. Mel crie de douleur. Je reprends mes caresses urticantes.
— Ça brule ! Et elle reprend.
— S’il te plaît, fouette mes nibards, j’ai trop mal.
C’est la demande que j’attendais. Je pose le bouquet et je m’empare du martinet. Je cingle ses pomelos à la volée. Elle rugit de douleur. Je la laisse récupérer. Elle murmure.
— Merci.
— Je continue ?
— Oui.
Je reprends ma fouettée, balayant son ...