1. Il faut que je me laisse aller


    Datte: 03/09/2018, Catégories: ffh, hplusag, fplusag, jeunes, couple, voisins, Voyeur / Exhib / Nudisme Oral pénétratio, Auteur: Pericles, Source: Revebebe

    ... immédiatement parlé de notre envie de trio comme nous si nous faisions cela couramment. Je suppose qu’il avait raison ; seulement, c’était uniquement en fantasme. Et je n’étais pas en position d’objecter, bien sûr : je lui avais dit tellement de fois que j’aimerais ça. En rajoutant toujours soigneusement « … mais seulement si nous trouvons la bonne fille. », pensant que nous ne la trouverions jamais.
    
    Mais là, d’un seul coup, la fille idéale nous le proposait. Et elle était douloureusement belle. Le pire, elle avait 19 ans, donc je ne pouvais objecter que ce ne serait pas légal. Et elle ne dirait rien à ses parents. J’étais absolument à court d’arguments contre ce qui allait se passer. Et je n’aurais jamais avoué à mon mari que je lui mentais depuis toujours sur cette envie de trio. J’étais bien coincée.
    
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    Marion s’est assise dans le fauteuil. Lui, il s’est allongé à côté de moi sur le lit. Il me repositionne dans la longueur du lit, face à Marion, se mettant derrière moi, en cuiller. Je sens son érection, d’une complète rigidité maintenant, lovée contre mes hanches. Son menton repose sur mon épaule pendant que nous la regardons. Elle se lève alors et, avec un grand sourire, entreprend de se déshabiller. Se déplaçant très lentement, elle aussi. Elle fait son show !
    
    Tout d’abord ses cheveux. Elle enlève trois épingles et sa chevelure cascade sur ses épaules en ondulations luxuriantes, luisant à la faible lumière de la lampe de chevet, ...
    ... rebondissant vers le bas jusqu’à s’immobiliser juste sous les omoplates. Puis elle lève les bras et enlève son tee-shirt sans aucune hésitation. Elle le jette sur la pile de nos vêtements. Son soutien-gorge n’est qu’une toute petite pièce de dentelle coupée de manière à ne couvrir que la moitié de ses mamelons brun clair, le reste clairement visible même dans la pénombre. Son décolleté dévoile ainsi une pulpeuse mais cependant très ferme poitrine.
    
    Elle déboutonne son jean puis se tourne face à la pile des vêtements. Elle nous donne ainsi une vue à couper le souffle alors qu’elle descend son jean sur ses cuisses puis jusqu’à ses pieds en se penchant. Elle reste dans cette position un peu plus longtemps que nécessaire, exhibant ses fesses rondes et magnifiques ainsi que les lèvres de son sexe, bien visibles car à peine recouvertes de dentelle. Son parfum flotte sur nous, capiteux, musqué, séduisant. Je commence déjà à être trempée. En fait, je le suis depuis que j’ai éteint les lumières. Je sens un goutte-à-goutte couler à travers ma culotte détrempée et courir le long de ma cuisse.
    
    La main de mon mari a glissé de ma hanche jusqu’à mes seins. Ses doigts retournent à mes mamelons, les pressant beaucoup plus fortement, à la limite de la douleur. J’ai l’impression qu’il se laisse aller. Vu la situation, je ne lui en veux pas ; nous parlions de ça depuis si longtemps… Je caresse sa main pour l’amener à se calmer un peu, mais son érection entre mes jambes est raide comme je l’ai rarement ...
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