1. Il faut que je me laisse aller


    Datte: 03/09/2018, Catégories: ffh, hplusag, fplusag, jeunes, couple, voisins, Voyeur / Exhib / Nudisme Oral pénétratio, Auteur: Pericles, Source: Revebebe

    ... le lendemain, si notre expérience tournait à la catastrophe. Brrr… C’est pour ça que je pensais être en sécurité. Que je pouvais en rêver avec lui, même le taquiner. Sur le fait de le partager avec une autre. Et d’être partagée.
    
    Je jouais avec le feu. Je lui montrais des femmes dans la rue, dans les restaurants ou les supermarchés. La nuit, je chuchotais à son oreille, je lui disais comment leur corps aurait l’air, une fois nu, comment leurs lèvres seraient agréables enroulées autour de son érection, comment elles hurleraient pendant l’orgasme que je leur procurerais avec mes lèvres. Et puis je regardais avec une tranquille satisfaction son sexe durcir pour moi. Parce que je savais que nous ne trouverions pas la femme idéale, ni inconnue ni amie, avec laquelle nous pourrions avoir cette expérience.
    
    Jamais il ne me serait venu à l’esprit de penser à Marion pour ça. Elle était beaucoup trop jeune ; penser à elle autrement que comme la fille de nos voisins ne m’était jamais arrivé. Mais ce soir, lorsqu’elle était entrée dans la voiture à la fin du babysitting, elle nous avait regardés droit dans les yeux et avait sorti :
    
    — Vous savez, j’aimerais tellement coucher avec vous avant de partir à l’université !
    
    ********************
    
    Une bouche chaude sur mes tétons. Il me suce, la bouche grande ouverte, faisant tournoyer sa langue autour. Je gémis, longuement et doucement. Même si je suis nerveuse, mes seins restent très sensibles, comme il le sait si bien, le salaud ...
    ... ! Ça me fait toujours décoller.
    
    Avec mes mains dans ses cheveux, je le pousse vers le bas et le guide. Je sens le bouton de mon jean se détacher, puis la braguette qui descend. Le lit est juste derrière moi. Il appuie doucement sur mes hanches et je me retrouve assise sur le lit, puis sur les coudes avec mes fesses juste au bord du matelas. Notre chambre est un territoire familier, c’est un rituel familier, je le fais même les yeux fermés. Il lève mes jambes vers le haut et tire, et d’un coup, je me retrouve juste avec mon tanga.
    
    Elle rit à nouveau.
    
    Je suis sur notre lit, pratiquement nue, il n’y a aucune échappatoire possible, ça va se passer… Alors je me résigne et j’ouvre les yeux. Je la vois tendre la main pour ramasser mon soutien-gorge, l’admirer, puis me sourire.
    
    — Ça, c’est de la lingerie ! me chuchote-t-elle.
    
    N’ayant aucune autre réponse qui me traverse la tête, je lui réponds :
    
    — Merci.
    
    Son regard se tourne vers lui. Elle est toujours souriante, mais pas comme avec moi. C’est comme si elle avait plus… faim. Il se déshabille rapidement, jetant ses vêtements sur le dessus des miens. Une fois libéré de son boxer, son érection s’affiche, dure et raide sous nos yeux. Les miens… et les siens. Je la regarde le contempler. Oui, certainement, elle a faim.
    
    ********************
    
    Aussitôt sa petite bombe lâchée dans la voiture, elle n’avait pas eu à attendre longtemps. Mon mari avait sauté sur l’occasion, bien sûr. Il s’était retourné et lui avait ...
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