1. Une si gentille copine sur une si jolie terrasse


    Datte: 23/02/2023, Catégories: fh, ff, 2couples, fbi, frousses, extraoffre, Oral 69, Partouze / Groupe fsodo, entrecoup, Auteur: Patrik, Source: Revebebe

    ... lolos des yeux.
    
    La tarte aux pommes était restée un peu fade, malgré un petit passage au four. Un peu de chantilly a permis d’en rehausser le goût. Nous nous laissons aller :
    
    — Ce fut un bon repas ! Il ne reste plus qu’à faire une petite sieste…
    — Une petite sieste crapuleuse !
    — J’aurais bien mangé un petit fruit du jardin, mais ce n’est pas encore l’époque…
    — Tu veux un petit fruit, Bernard ?
    — Oui, tu en as sous la main ? Du naturel cent pour cent ? Zéro conservateur ?
    — Tu ne crois pas si bien dire !
    
    Prise d’une impulsion subite, je m’empare de la bombe de crème chantilly et sous les yeux intrigués des trois autres, je dépose une noisette de mousse sur chacun de mes tétons et j’en fais de même sur Géraldine qui pousse alors un petit cri, car c’est un peu froid. Celle-ci me regarde d’un air intrigué, les hommes se montrent très intéressés.
    
    Tétons blancs en avant, j’explique la suite des événements :
    
    — Dégustation de fruits rouges, cent pour cent naturel ! Gillou, occupe-toi d’enlever cette chantilly sur Géraldine, et toi, Bernard, fais la même chose sur moi !
    — Avec plaisir ! s’exclame un Bernard totalement ravi. Ma copine m’adresse un petit clin d’œil. Mon mari semble impassible, impossible de deviner sa pensée. Mais je constate que son short semble un peu tendu, ce qui est déjà une réponse en soi. D’ailleurs, Géraldine s’en est aussi aperçue.
    
    Bernard est déjà en train de me lécher les seins, de sucer mes tétons avec avidité. De son côté, Gilles ...
    ... est beaucoup plus méthodique. Du bout de la langue, il cueille avec application la crème chantilly. Une autre façon de faire, mais qui semble beaucoup plaire à Géraldine qui est toute rouge. Il est vrai que, sur une rousse à peau blanche, la moindre rougeur se voit vite !
    
    Je songe au fait que mon mari est en train de dégager une framboise écarlate nichée au sommet d’un mont tout blanc… L’idée me fait sourire !
    
    Ensuite, tout s’enchaîne naturellement, Gilles s’occupant réellement de Géraldine. Je vois bien du coin de l’œil qu’il marche sur des œufs, ne sachant pas trop comment s’y prendre. On pourrait même croire qu’il n’est pas intéressé, mais, visiblement, sa verge parle pour lui, et j’ai bien compris qu’il ne bandait pas que pour moi.
    
    Pour faciliter les contacts, nous ôtons tous nos vêtements. Après quelques mises en train, Gilles ramène du garage le grand matelas plat que nous gardons pour certaines occasions coquines, comme maintenant sur la terrasse. Il est clair que ça simplifiera bien ce qui va survenir et que nous pourrons continuer à jouir du plein air et du soleil. La première personne à s’allonger est ma rousse copine.
    
    Gourmande, allongée, attendant la suite, Géraldine me confie :
    
    — Ah que c’est bon, la baise en plein air !
    — On n’a même pas vraiment commencé, ma chérie !
    
    Géraldine a pris carrément les choses en main, puisqu’elle est en train de branler mon mari et que celui-ci se laisse faire. Chassez le naturel, il revient au galop : très vite, ...
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