1. Une si gentille copine sur une si jolie terrasse


    Datte: 23/02/2023, Catégories: fh, ff, 2couples, fbi, frousses, extraoffre, Oral 69, Partouze / Groupe fsodo, entrecoup, Auteur: Patrik, Source: Revebebe

    ... parole ! Mais ça laisse rêveuse !
    
    Géraldine se cale sur sa chaise longue, face au soleil. Elle soupire :
    
    — Ça fait du bien, un peu de soleil ! On n’a pas trop été gâté, ces derniers temps ! Encore heureux que depuis début mars, on vous connaît, Gilles et toi ! On peut dire que vous avez ensoleillé notre vie !
    — Arrête de dire des bêtises, nous avons été tout au plus des déclencheurs. Des catalyseurs, si je ne dis pas de bêtises…
    — Toi surtout, ma chérie ! Tu es une bonne prof ! Qu’est-ce qu’on a pu faire comme cochonneries depuis !
    
    C’est alors que me vient une idée :
    
    — Tiens, justement, en parlant de soleil et de cochonneries : si on enlevait nos hauts pour faire un peu bronzette ?
    — Là, maintenant, tout de suite ?
    — Non, ce soir, à minuit, sous la pleine lune !
    
    Nous nous exécutons tous les deux, ce qui est vite fait. Je suis à présent vêtue d’un petit short, et ma copine de sa jupe légère. Ce qui fait aussitôt revenir nos mâles sur la terrasse. Ah ces hommes, un bout de téton, et ils n’en peuvent plus ! Comme les autres fois, Bernard me dévore ostensiblement des yeux, et Gilles n’est pas indifférent aux petits seins blancs de ma copine.
    
    Les yeux luisants, Bernard s’extasie :
    
    — Tu vois, Gilles, c’est comme ça que je préfère ma femme : délicieusement libertine.
    — Je vois aussi, Bernard, que c’est aussi comme ça que tu préfères ma femme…
    — Euh…
    — T’inquiète, je ne suis pas partageur pour rien, tu en sais un petit quelque chose, non ?
    — Ce… c’est ...
    ... vrai…
    
    Nos hommes nous tiennent compagnie un certain temps, puis après s’être copieusement rincé l’œil et comprenant que ça en resterait là, ils retournent palabrer dans le jardin. Tandis que les hommes s’enfoncent dans la verdure, Géraldine se tourne la tête vers moi :
    
    — Y a pas à dire, c’est bien d’être les nichons à l’air au soleil…
    — Sonnenbaden ihrer Brüste, nichts Vergleichbares !
    — Eh !? T’as dit quoi ?
    — Je disais que prendre un bain de soleil, rien de tel.
    — Tu as parfaitement raison ! Purée, mon allemand est bien loin, et pourtant j’en ai fait trois-quatre ans ! J’admire la façon dont tu parles si bien français ! Mise à part une petite pointe d’accent qui a son charme, on jurerait que tu es née francophone !
    — Merci, merci…
    
    Je vois bien que Géraldine tourne autour du pot :
    
    — Tu n’aurais pas un truc à me dire, ma chérie ?
    — Euh… si… un truc curieux concernant ton mari… Oh, rien de grave !
    — Ah bon ? Lequel ?
    — Ne va pas lui répéter, s’il te plaît…
    — Je serais muette comme une tombe !
    
    Elle se penche à présent sur moi :
    
    — Ben voilà. Déjà, lors du salon, j’avais bien remarqué que Gilles me reluquait discrètement, mais qu’il me zieutait souvent, même si ce n’était pas ostensible. C’était flatteur, d’autant que c’était léger, ce qui change des gros lourdauds. Tu vois, ma chérie, je préfère mille fois être matée par un homme comme le tien que par des baveux !
    — Oui, Gilles est un homme, et les hommes ont rarement leurs yeux dans leurs poches… En ...
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