J'aime le voir... (9) - Histoires de Sexe

J'aime le voir... (9)

... tendue, donnant des coups de fesse en arrière pour chercher la pénétration, elle est sublime. La sueur coule sur leurs visages rouges de leurs efforts. Quel pied de les diriger,

— Ça monte mes chéris ?

— Je vais, je vais jouir lâche Laurane d’une voix hachée, pendant que lui, sur mon ordre, les dents serrées, il se concentre pour ne pas jouir encore.

Je le sens une âme de réalisatrice de porno et je pense à la scène finale en lui ordonnant :

— Retiens-toi, je jouis pas encore.

Je caresse ses seins d’une main, l’autre titillant son clitoris dressé et gluant de mouille, puis je lui murmure à l’oreille : - Jouis.

Elle répond immédiatement par un " ouiiiiiiiii" énorme et s’écroule presque sur le lit, expulsant presque le membre qui la fouillait.

Membre gonflé, tendu, couvert de suc que je saisis, serre à la base pour qu’il ne jouisse pas tant il est tendu, je la fais se retourner sur le dos, le pousse sur elle et lui dit :

— Lâche-toi sur ses seins.

J’hésitais un peu avec son visage, mais ses seins ...

... lourds sont si beaux, si tentants que je n’ai pas résisté à mes envies.

A peine ai-je enlevé ma main qu’il jouit en criant et, même si son sperme est moins abondant que précédemment, il lâche quand même plusieurs jets de sperme qui viennent maculer les seins de Laurane.

Il se recule un peu, affalé sur ses genoux, le corps tendu, mais encore attentif à ne pas interférer avec mes ordres.

Je contemple quelques secondes le foutre blanchâtre ornant les superbes seins puis, n’ayant aucune envie de me freiner, je vais lécher le plaisir de mon homme. J’aspire tout, puis la bouche remplie, fermée, perdue dans un délire obscène, je vais me mettre au-dessus de Laurane, qui, la bouche ouverte a compris et m’attend et je laisse couler un petit filet dans sa bouche. Ses yeux sont exorbités, sombres de plaisir, je me tourne ensuite vers mon homme qui est venu attendre et j’effectue le même don pervers avec lui. Ensuite, sur un signe presque informulé, on s’embrasse à nouveau tous les trois, partageant le plaisir, partageant notre amour.