J'aime le voir... (9) - Histoires de Sexe

J'aime le voir... (9)

... ne cesse plus de couler tant c’est excitant. Puis pendant qu’ils s’embrassent, je plonge deux doigts en moi avant de leur présenter mes doigts gluants de mouille afin qu’ils me les lèchent, les sucent. Comme c’est bon de diriger, de me laisser dorloter, de les emmener loin dans une soumission soft, je perds doucement toute capacité à penser plus loin que quelques secondes tant je monte dans les sensations. Je me caresse les pointes des seins, tirant fort dessus, sentant la vague gonfler, gonfler encore. Ils sentent que je suis au bord de l’orgasme et se succèdent à toute vitesse, car je ne suis plus capable de donner le tempo.

Les bruits de succion sont obscènes, ils bavent d’envie, leurs bouches sont brillantes de cyprine, de salive, d’envie. C’est Laurane qui "décroche le pompon" puisque je finis par jouir sous sa langue en criant comme une possédée (ce que je suis après tout), tout mon corps se tend et heureusement pour Laurane, elle s’était reculée un peu, ce qui lui a évité de se faire coincer entre mes jambes.

Je perds à moitié connaissance et les deux me transportent dans notre chambre sur les vagues indications que je parviens à murmurer.

On se retrouve sur notre grand lit et on partage tous les trois des baisers fous, haletants, presque à bout de souffle. Je me recule un peu, encore étourdie et, comme ils me regardent, en attente de mon plaisir, en attente de mes ordres, je finis par lâcher :

— Baise-la comme une chienne !

Cet ultime test est ...

... couronné de succès, Laurane se met à quatre pattes et présente sa croupe à mon homme, il se positionne et s’enfonce presque d’un coup dans sa chatte gonflée tant elle est, elle aussi excitée. Un long gémissement s’échappe de la bouche de Laurane. Je me suis installée face à elle, la fixant dans les yeux, encore étonnée quelque part qu’elle se soit soumise si facilement. Ses yeux chavirés de plaisir montrent son accord plein et entier et chaque coup de reins de mon mec la fait gémir. Elle m’avait avoué avoir passé de longs mois sans relation, sans homme et là, elle déguste, elle savoure le sexe qui va-et-vient avec force en elle. Je lui donne quelques coups de langue sur la bouche puis le visage, jouant moi aussi à la petite chienne, je me sens salope et c’est terriblement bon. Je regarde aussi mon homme qui, les mains enserrant les petites fesses de Laurane, s’applique à la pénétrer pour lui donner le maximum de sensation.

Je continue dans l’escalade du plaisir en reprenant la parole, d’abord en m’adressant à lui.

— Elle est bien chaude ?

— oh oui, oh, c’est si bon, elle est si étroite et chauuude.

Et puis à elle :

— Il te baise bien ?

— Oh bon sang, comme c’est boon, cela faisait si long, si longtemps ouaaaah.

Je les observe un peu, je ne suis pas jalouse, puisque je dirige mes amours. Je viens empaumer les seins lourds de Laurane par dessous et les caresses comme j’ai envie, je les malaxe presque en lui tirant des cris de plaisir. A quatre pattes, la croupe ...