Mathilde et Pauline 05 - Histoires de Sexe

Mathilde et Pauline 05

... elle extirpa deux godemichés de belle taille et en donna un à Mathilde.

– Ce sont des godes avec une ventouse, tu choisis une surface lisse pour y mettre la ventouse et tu t’empales dessus. Elle joignit le geste à la parole et disposa le gode sur la porte de son armoire. Elle avait l’habitude et le fixa à la bonne hauteur. Ensuite, tu te mets à quatre pattes et c’est parti ! Pauline était tellement excitée que le gros sexe en silicone entra tout seul sans lubrifiant. De son côté Mathilde cherchait du regard une surface pour en faire autant.

– Viens à côté de moi… Mathilde retira le plug qui la dilatait depuis presque une heure et fit comme sa partenaire, mais il fallait lubrifier, Pauline utilisait son vagin… Quelques minutes plus tard, Mathilde, à genoux sentait le gode appuyer sur son anus, elle cambra les reins et força, les bouffées de chaleur étaient de retour mais le gode avait du mal à entrer. Pauline vit la déception et le déplaisir sur le visage de Mathilde, elle vint à son secours.

– Fais comme si tu voulais expulser et en même temps tu forces l’entrée. Mathilde suivit les conseils de son amie et miracle, le gode passa l’anus et pénétra dans son rectum. Prudente, Mathilde n’alla pas plus loin de peur de se faire mal.

– Maintenant, tu peux te retirer entièrement et recommencer pour le faire entrer plus avant. Mathilde s’exécuta et le miracle recommença, le gode la pénétrait de plus en plus, sans douleur, elle avait très chaud et son bustier commençait à ...

... la gêner, elle entendait la respiration de Pauline s’accélérer et un bruit de gorge de plus en plus fort. Pauline arrêta ses mouvements, les yeux fermés, reprenant avec peine sa respiration, elle venait d’avoir une idée. Elle enduisit de lubrifiant la main de Mathilde se mit devant elle lui faisant jouir d’un ravissant spectacle.

– Tu serres le poing, tu le poses à l’entrée du vagin et tu pousses sans le retirer dans un premier temps.

– Mais je vais te faire mal !

– Non, tu verras… Mathilde serra son poing et pénétra lentement le vagin de Pauline. C’était chaud, très chaud et curieusement les parois étaient tendues pour faire plus de place à cette main qui n’avait rien à y faire, elle entama un mouvement rotatif et Pauline râla et râla encore, elle grognait à chaque mouvement. Mathilde retirait sa main, la peau suivait un court instant la progression puis la replongeait pour mieux la retirer. Elle voyait la sueur sur le dos de Pauline qui écartait ses cuisses le plus qu’elle le pouvait. Le vagin absorbait sa main jusqu’au poignet, c’est Pauline qui se retira d’elle-même pour se poser sur le ventre, jambes écartées, les mains réunies sur son cou, gémissant tout doucement, son vagin était largement ouvert et les grandes lèvres luisaient. Mathilde était déconcentrée, elle se retira également de la contrainte du gode-ventouse et s’allongea à côté de Pauline qui reprenait ses esprits.

– Ça va ? Pauline se souleva sur un coude, le maquillage en perdition et les cheveux ...