Mathilde et Pauline 05 - Histoires de Sexe

Mathilde et Pauline 05

... voulaient pas rater le moindre moment et surtout celui-là. Un long moment plus tard, Pauline l’emmena par la main dans sa chambre, grande elle aussi, avec également un lit de deux personnes, tout le mobilier et les accessoires venaient d’une chaîne de grands magasins que l’on trouve en périphérie des grandes villes, mais Pauline s’en moquait comme de son premier pyjama, elle faisait partie de cette génération habituée à ce rien ne dure.

Mathilde s’assit sur le bord du lit et Pauline prit la parole :

– Voilà, j’aimerais t’emmener dans la chambre de ma mère pour que tu puisses choisir des vêtements pour ce soir, j’ai prévu un petit dîner aux chandelles et nous, habillées chic, mais avant je dois te parler d’une chose que j’aimerai faire si tu es d’accord bien entendu. Mathilde l’écoutait, ne comprenant pas quelles étaient ses intentions.

– J’ai remarqué la première fois où je suis venue chez toi, que tu avais les poils du pubis coupés très court et je me demande si tu serais partante pour tout enlever ? Mathilde n’hésita pas.

– Si tu penses que c’est mieux, je suis d’accord, habituellement je vais chez l’esthéticienne qui utilise de la cire, je ne sais pas trop ce que va donner le rasoir…

– Pas de rasoir, ça donne des petits boutons, j’ai une petite station d’épilation électrique, on ne verra rien c’est promis. Quant aux vêtements, tu as le même physique que ma mère et son métier la fait participer à quelques soirées mondaines, ce qui explique la qualité de ...

... son dressing, tu verras... En attendant, nous avons toute la journée pour nous préparer.

Cette dernière phrase était accompagnée d’un mouvement de la main qui plaqua Mathilde sur le lit, Pauline l’enjamba, tenant ses poignets fermement et l’embrassa goulûment. Les mouvements du bassin de Pauline remontèrent la jupe de Mathilde le long de ses cuisses dévoilant une petite culotte noire.

*

* *

Les deux filles étaient dans la chambre parentale qui était deux fois plus grande que celle de Pauline. De lourds double-rideaux étaient tirés ne laissant que très peu de lumière éclairer la couette bleu marine. Pauline alluma la lampe de chevet.

Un lit, un chevet et une coiffeuse encombrée résumaient tout le mobilier mais des placards avec les portes recouvertes de miroirs du haut en bas occupaient deux pans de murs soit plus de dix mètres de dressing !!! Pauline expliquait à Mathilde le contenu des deux premiers rangements, il y avait des tiroirs, des étagères pleines de pulls, des tringles portant des chemisiers et des jupes, un stock à faire pâlir le plus fourni des magasins de vêtements. Pauline se dirigea vers la dernière porte et l’ouvrit, il n’y avait que des chaussures, depuis les tropéziennes jusqu’aux escarpins vernis, toutes bien rangées, il y en avait une bonne centaine de paires. Pauline se tourna vers Mathilde.

– Quelle taille fais-tu ?

– Trente-neuf, ça dépend de la forme.

– Très bien toutes ces chaussures sont de cette taille, je te laisse choisir, ...