1. Appelez-moi Zorro


    Datte: 03/09/2018, Catégories: fh, inconnu, poilu(e)s, train, amour, cérébral, Oral pénétratio, historique, pastiche, policier, aventure, sf, fantastiqu, sorcelleri, Auteur: Guillaume de Baskerville, Source: Revebebe

    ... déshabiller.
    
    Une fois nu, elle pose ses lèvres partout sur son corps. Bien entendu, sa baguette magique réagit au quart de tour à ce traitement.
    
    Elle fait durer le plaisir en passant la langue tout le long de la bête, puis l’embouche lentement. Il se mord les lèvres sous cette douce caresse.
    
    — Nom de dieu, murmure-t-il, émerveillé.
    
    Elle se déshabille tout en lui prodiguant cette câlinerie. Elle lui griffe la peau des testicules d’un ongle délicat. Il est presque au bord de l’explosion lorsqu’elle se relève et lui dit tout bas :
    
    — Aime-moi.
    
    Comment résister à une telle supplique prononcée d’une douce voix.
    
    Il s’installe entre les jambes largement ouvertes, se coule sur le corps couvert de sueur. C’est elle qui s’empale sur le pieu tendu en projetant son ventre à la rencontre de son amant.
    
    Tandis qu’il pénètre son antre, il embrasse avec fougue les lèvres, les joues, les épaules. Il caresse les petits seins tout en allant chercher au fond des entrailles offertes les points de plaisir.
    
    Au point de non-retour, elle plante ses ongles dans les muscles des épaules, s’arque et enserre la taille de l’homme de ses longues jambes.
    
    Ils refont l’amour, encore et encore, jamais rassasiés.
    
    Il aime la regarder prendre son envol, assise sur lui, les yeux révulsés.
    
    Il aime enfouir son visage dans la douce fourrure et venir lécher son ...
    ... nectar.
    
    Elle ouvre les yeux et lui sourit. Il caresse le visage et dépose un petit baiser sur la bouche.
    
    — Je ne connais même pas ton prénom.
    — Agathe.
    — François.
    — François ? J’aime la façon que tu as de me regarder le matin et le soir, dans le train. Je crois bien que je suis tombée en amour !
    — D’où te viennent ces charmantes expressions ?
    — Mon père a vécu très longtemps près de Québec, j’aimais sa façon de parler. Je comprends tout, et j’adore. Et puis t’es fort en maudit, dit-elle en caressant le goupillon télescopique qui frémit. Pourquoi t’es jamais venu me faire causette ? J’attendais que tu viennes, que tu me parles. J’aime ton sourire quand tu me regardes, j’aime tes yeux rêveurs, j’aurais aimé entendre le son de ta voix avant hier soir.
    — Je suis timide, je n’ai jamais osé t’aborder, alors j’invente des histoires où tu es ma princesse et moi, ton chevalier servant.
    — Des histoires ? J’adore les histoires. Raconte-moi.
    — Alors voilà. C’est un chevalier qui fait appel à un détective privé pour retrouver une princesse gardée par des bandits de grand chemin, mais un mousquetaire débarque dans son vaisseau spatial poursuivi par un dragon…
    
    Difficile de raconter une histoire quand une belle Agathe te caresse les gosses.
    
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    &#8317¹&#8318 Gambison : Pourpoint rembourré porté sous une armure. 
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