Alicia et son papa (21) - Histoires de Sexe

Alicia et son papa (21)

... contre le mur, privée de force comme de volonté. À ma grande honte, je jouis presque quand papa se vida en rugissant dans mes entrailles ; à deux doigts de l’extase, je gémis de frustration, le vagin ruisselant et les seins gonflés et douloureux.

— Tu n’as pas joui, c’est bien. J’aurais été obligé de te punir encore.

— Je sais, mais j’aurais aimé jouir avec toi, objectai-je d’une voix rauque.

— Ali, ne joue pas avec le feu, tu vas te brûler, prévint papa.

Ensuite, papa mangea une demi-pizza décongelée pendant que je le suçai, à genoux sous la table. J’avais pour mission de le faire bander, ce qui fut facile, mais pas de le faire éjaculer. Il se réservait pour mon cul. Je commençai à être inquiète, car mon anus était en feu, congestionné et rouge. Pourtant j’étais impatiente d’être à nouveau sodomisée, car mon père en avait envie et j’aimais être à son entière disposition. Je ne fus pas déçue. À peine sa pizza avalée qu’il me poussait sans ménagement dans sa chambre et me jetait sur le lit.

— Mets-toi sur le dos, montre-moi que tu es souple. Je veux que tu passes tes deux pieds derrière ta nuque. Allez, vite.

Les pieds derrière... Ouais, je devrais y arriver, je l’ai déjà fait. D’accord, pas toute nue, et pas devant mon père non plus. Oups, je suis pliée en deux, les mollets sous les épaules. Complètement offerte, ouverte, je suis aux premières loges pour le spectacle : l’énorme bite de papa qui s’approche déjà pour me sodomiser. Et comme il vient de ...

... jouir, c’est parti pour durer longtemps. Tant mieux, je ne vais pas me mentir, je vois mon vagin aux lèvres gonflées qui ruisselle littéralement d’envie. Le pauvre !

Manifestement satisfait, papa s’avança lentement, précédé par son érection massive qui se balançait au-dessus de ses testicules pleins de foutre. Il ne s’embarrassa pas de préliminaires et m’embrocha avec un han de bûcheron. Incrédule, je vis l’épaisse colonne de chair violacée s’enfoncer sans pitié dans mon anus. Il me semblait impossible d’accueillir un tel calibre en moi, et pourtant mes reins se sont ouverts largement, à la limite de la rupture. Je restai bouche béante sur un cri lancinant, douleur et plaisir inextricablement mélangés, alors que mon père se lançait brutalement à l’assaut.

— Je vais tordre tes seins, gronda papa. Ils sont si tendus, si gonflés, je vais les claquer, les malaxer à te faire hurler.

— Oui, vas-y, haletai-je, fais tout ce que tu veux ! Je suis ta fille, tu peux tout me faire, tout ce que tu veux...

Ses mains s’abattirent comme des serres sur me tétons et les empoignèrent rudement, écrasant les aréoles turgescentes à me faire hurler, les tordant comme si papa voulait les arracher. Et en même temps, il me sodomisait de toute sa puissance ; ses couilles claquaient contre mes fesses, son pelvis frappait mes cuisses. La sueur inondait le torse massif de mon père, elle coulait sur moi et se mêlait à la mienne. Nos peaux luisaient, constellées de gouttelettes qui finissaient pas ...