Alicia et son papa (21) - Histoires de Sexe

Alicia et son papa (21)

Si la matinée avait été exclusivement consacrée au travail, l’après-midi me réserva un emploi du temps bien différent. Après avoir sucé le patron et avoir avalé une bonne dose de semence, je fus prise en charge par les vigiles que je dus soulager trois fois chacun. Ils usèrent et abusèrent de tous mes orifices, bien sûr, les défonçant avec une égale brutalité. Ma bouche ne servit pourtant qu’à les remettre en forme, car dès que leurs membres virils étaient à nouveau bien raides, ils prenaient sans fioriture mon vagin ou mon anus.

Malgré mes efforts, j’ai encore joui plusieurs fois. J’étais en effet incapable de résister à la montée du plaisir quand j’étais investie rudement par leurs bites énormes. Même quand j’étais exténuée, alors que Babacar me sodomisait brutalement pour sa troisième saillie de la journée, mon corps se tendait et s’offrait, comme animé d’une vie propre. Un autre orgasme me foudroya ainsi, pendant que le puissant vigile pilonnait mon anus complètement distendu. Ses coups de reins étaient si violents que mon corps se disloquait à chaque ruée en avant, et j’adorais ça.

— Petite pute, ça te manquait, ma grosse bite de Black dans ton cul, hein !

— Oui, soupirai-je, continue, plus fort... Ah ! Oui !

Hamid regardait, appuyé contre le mur. Il astiquait sa bite raide en attendant son tour, moins pressé de me prendre après avoir joui deux fois. Je savais qu’il me baiserait longtemps, lui aussi, et que je jouirais sûrement, malgré l’interdiction ...

... paternelle. Je repensai à papa qui revenait ce soir, et à tout ce qu’il allait me faire. Je gémis à cette pensée, presque au moment où Babacar s’extrayait de mes reins pour éjaculer sur mes cheveux et mon cou.

Je rentrai chez moi sans avoir pu me laver ; j’avais simplement enfilé mes vêtements sur mon corps souillé avant d’enfourcher ma bicyclette. Il pleuvait à nouveau, mais ça ne me gênait pas, au contraire. En pédalant, j’offrais mon visage couvert de sperme à la pluie bienfaitrice. À la maison, je me douchai longuement à l’eau bien chaude. Je dirigeai le pommeau entre mes cuisses et nettoyai mon sexe de l’intérieur avant de faire de même pour mon anus. Ensuite, le fondement enduit de pommade grasse et chauffante, je grignotai pain suédois et Nutella, je me lavai les dents et m’allongeai pour récupérer.

Je me réveillai en sursaut, tracassée par un léger bruit. J’allumai ma lampe de chevet, car il faisait nuit noire : il était 22 heures selon mon radio-réveil. Papa était là, compris-je. Il était enfin arrivé. Je me précipitai sans me soucier de mon apparence, nue et les cheveux en bataille. Il était dans le salon, son gros sac de voyage à la main. Je me précipitai et m’arrêtai net, ne sachant comment me comporter. Puis je me jetai dans ses bras et l’embrassai sur les deux joues avant de reculer. Je baissai alors la tête et croisai les poignets dans le dos, puis j’écartai largement les jambes.

— Bonsoir Monsieur.

— Bonsoir, Ali. Tu dormais ?

— Je me suis assoupie, ...