1. Comment j'ai rencontré Sandrine


    Datte: 17/02/2023, Catégories: fh, fplusag, inconnu, vacances, fdomine, Oral pénétratio, fsodo, bourge, Auteur: Cactus, Source: Revebebe

    ... théorèmes.
    
    À la seconde où j’ai prononcé cette phrase, j’ai su que j’aurai mieux fait de m’abstenir, mais c’était sorti. Sérieux quoi… « J’aime approfondir les théorèmes » ! Sa réaction cependant m’intrigua : un petit rire, entre un ricanement et un soupir de bien-être. Je sentais monter une tension, imperceptiblement, comme si une chimie agissait sans que nous ne puissions rien y faire.
    
    — Je vous propose donc un essai, dès la semaine prochaine. Mon mari et ma fille sont partis en trek dans les montagnes. J’aimerais tout de même vous connaître un peu plus personnellement. Comme je vous les dis, je veille aux intérêts des miens. Voudriez-vous vous joindre à moi pour un verre ?
    
    Un verre. Carrément ! J’aurai bien pris une mousse, mais je me suis dit que dans cette maison, cela ne se faisait sans doute pas. Lorsqu’elle m’a demandé ce que je voulais, sans même d’ailleurs qu’elle ait attendu ma réponse, je lui ai répondu : comme vous.
    
    Et d’un coup, tout s’enchaîne.La vitesse des événements m’oblige à vous les décrire au présent.
    
    Elle revient, je remarque que Sandrine n’a plus son chapeau, je peux profiter pleinement de la vue de ses longs cheveux d’un brun ébène. Elle me dit que j’ai l’air troublé. Je balbutie que la vue m’inspire.
    
    — On peut se tutoyer peut-être, Ben ?
    
    Elle utilise mon prénom. Ok, relax.
    
    — Si vous vou.. Enfin, si tu veux.
    — Je préfère. On est amenés à devenir assez proche, non ?
    — Oui… j’imagine.
    — Ça t’ennuie si je m’approche ?
    
    Non, ...
    ... ça ne m’ennuie pas, ce qui grossit dans mon short m’ennuie un peu plus. Elle s’approche du canapé et se colle littéralement à moi. Je sens ses bras contre les miens, je sens qu’elle appuie.
    
    Elle prend son verre :
    
    — Tu sais, pour des gens de notre milieu, il vaut mieux bien connaître les gens qui travaillent pour nous. La petite Paula, par exemple, est là depuis quelques années et nous sert fidèlement.
    
    Elle se penche pour poser son verre, dans un geste lent, et langoureux. Elle retire ses lunettes et j’aperçois pour la première fois ses yeux d’un magnifique vert émeraude. Elle me regarde fixement.
    
    Les secondes semblent être des minutes. Je ne sais pas ce qui de la gène ou de l’excitation transparaît le plus. Enfin, elle pose sa main sur mon sexe.
    
    — Et toi, tu nous serviras fidèlement ? Est-ce qu’on pourra te faire confiance ?
    
    Elle serre en même temps son emprise sur mon membre maintenant bien gonflé.
    
    — Oui Madame !
    — Tu seras à notre service ?
    
    Elle dit ça en même temps qu’elle enlève mon tee-shirt et admire mon buste. À l’époque, j’étais plutôt bien gaulé. Et tandis que je réponds par l’affirmative, elle se met à me sucer les tétons goulûment. D’abord le droit, puis le gauche, elle passe sa langue, m’embrasse, me mordille, et c’est divin. Je lui attrape les cheveux et dirige doucement sa tête vers la mienne. Je veux l’embrasser. Elle ne veut pas. Elle dégage mes bras et me les bloque tendrement derrière la tête. Et elle m’embrasse. C’est elle qui est à ...