1. Comment j'ai rencontré Sandrine


    Datte: 17/02/2023, Catégories: fh, fplusag, inconnu, vacances, fdomine, Oral pénétratio, fsodo, bourge, Auteur: Cactus, Source: Revebebe

    Ce qui m’a le plus frappé lors de ma première visite dans la Maison(nous l’appellerons la Maison pour préserver l’anonymat des participants), c’est la grandeur de l’entrée. Mon appartement devait pouvoir entrer entièrement dans les mensurations de la pièce. C’était richement décoré, un peu kitsch à mon goût, mais ce n’était pas moche. Ce qui l’était, en revanche, c’était le tableau de « maître » accroché derrière l’escalier principal, qui représentait une scène de chasse des plus affreuses.
    
    Une dame charmante, d’origine étrangère, probablement italienne, m’accueillit.
    
    — Vous venez pour Mademoiselle ?
    — Oui, répondis-je.
    — Bien, suivez-moi.
    
    Elle m’emmena alors dans une succession de plusieurs pièces(un salon, puis ce qui devait être un bureau…) avant d’accéder à la terrasse de l’autre côté du bâtiment. C’était la première fois que je voyais Madame, j’en conclus qu’elle allait mener l’entretien sans sa fille, visiblement absente.
    
    Elle était d’une grâce épatante. Lunette de soleil, chapeau et léger voile sur ses yeux, dans une robe d’un rouge intense que je n’avais jusqu’alors jamais vu. Un porte-cigarette portait ce que j’imaginais être une vogue ou l’une de ses autres cigarettes longues qu’apprécie une certaine catégorie de femmes. Son ton était autoritaire, mais contenait une certaine douceur, comme si elle était indulgente après que j’ai fait une bêtise.
    
    — Asseyez-vous, jeune homme, et détendez-vous, après tout, ce cadre est enchanteur n’est-ce pas ?
    
    Il ...
    ... l’était. La vue panoramique sur une forêt dense du sud de la France, avec ses pins et leur odeur caractéristique, me coupait le souffle.
    
    — Voyez-vous, nous sommes des gens assez privilégiés. Et nous aimons bien contrôler ceux qui pénètrent notre intimité.
    
    Était-ce par jeu qu’elle choisissait des mots aussi connotés ?
    
    Elle reprit :
    
    — Et d’autant plus ceux qui approchent Magdalena, notre toute jeune fleur.
    
    Fleur ? Défloration ? Je ne savais pas si mon esprit divaguait ou si elle me glissait des mots volontairement sexuels dans une conversation banale.
    
    — Bien. Vos états de services sont bons, nous apprécions le fait que vous ayez travaillé chez nos amis, cela nous donne une grande confiance.
    
    Ah oui, les amis ! J’avais en effet travaillé chez certains de leurs amis. Leur fille avait 19 ans, et échouait lamentablement à la Fac. Je devais la « redresser », ce que j’ai fait, d’une certaine manière. Elle en a appris des choses, ça c’est sûr, mais pas assez de mathématiques, ce pour quoi j’étais payé…J’imagine que je pourrais vous raconter cette histoire un peu plus tard.
    
    — Oui madame, j’étais très bien chez eux.
    — C’est ce qu’ils m’ont dit. Sophie a même eu ses examens, alors qu’entre nous je pensais que c’était une cause perdue.
    
    Il est quand même futé le garçon. Je m’étais débrouillé pour qu’une amie qui me devait un service trouve un moyen pour qu’elle obtienne sa première année.
    
    — Oui, nous avons bien travaillé tous les deux. J’aime approfondir les ...
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