1. Mariage Kabyle (7)


    Datte: 16/02/2023, Catégories: Gay Auteur: Calinchaud, Source: Xstory

    ... que son membre avait doublé de volume, qu’il élargissait ma « Tarma » à la limite du supportable, dépassant allègrement mon sphincter interne, forçant pour aller toujours plus loin et plus profond. C’était vraiment de la baise à l’état pur, où le Mâle se déchaînait dans sa femelle, et même si la maison s’était écroulée, il aurait redoublé de vigueur jusqu’à atteindre une jouissance, sans précédent. Pas un millimètre de son immensité n’était hors de moi, tant il me crochetait les hanches, dont j’ai gardé les marques plusieurs jours... Fabuleuses preuves de désir... !!!
    
    — C’est ce que tu voulais salope, non ? Te faire défoncer comme une putain... !!!
    
    Toujours enfoncé dans moi, ses gestes démentaient ses paroles. Ce n’était que caresses, baisers, tendresse, cherchant à s’assurer que mon plaisir avait été aussi intense que le sien. Il m’a retourné, m’a pris dans ses bras, posé mes mains sur son torse velu et humide, en m’embrassant à plein gosier, ses lèvres pulpeuses écrasaient les miennes.
    
    — Pardonne-moi mon Chéri... Jamais je n’aurais dû te dire ça... J’ai trop honte... !!!
    
    — Et bien moi, j’ai pas honte d’être ta salope, ta putain... !!! Ces mots, de ta bouche, sont pour moi, bien plus des compliments que des insultes.
    
    — Mais... Mais... C’est pas beau de ma part de te dire ça, c’est irrespectueux... !!!
    
    — Une putain, on la paye pour baiser, on se vide les couilles dans ses trous sans penser à elle... C’est ce que tu fais avec moi ?
    
    — Bien sûr que non... ...
    ... Avec toi, je fais l’amour, je veux te donner autant de plaisir que ce que tu m’en donnes, même si quelquefois, j’y vais un peu trop fort... J’avoue... !!!
    
    — Alors, quand je t’allume à fond, tu ne crois pas que c’est ce que je cherche aussi ? Cette violence du désir que l’on éprouve l’un pour l’autre ? Sans retenue aucune ?
    
    — Tu es... Merveilleux...
    
    En me serrant fort contre lui et où je me suis rendu compte qu’il n’avait en rien perdu de sa vigueur.
    
    — Toi aussi Kamel... Et j’ai encore envie de toi...
    
    Il m’a porté dans ses bras jusqu’à la chambre, m’a allongé sur le dos en caressant mon corps de la tête aux pieds, suavement, sensuellement, mes doigts et la pointe de mes ongles parcouraient la moindre parcelle de sa peau ambrée, recouverte de cette toison dont je raffolais.
    
    Une fois prêts tous les deux, il a écarté mes cuisses pour me prendre, longuement, tout en douceur, comme un homme fait l’amour à la femme qu’il aime et qui le lui rend totalement.
    
    C’est là qu’il a réalisé que mon plaisir était aussi intense lorsqu’il me prenait brutalement, à la « Hussarde », d’une extrême violence due à la puissance de son désir, que lorsque nos rapports étaient empreints d’une tendresse dont il avait tellement besoin, et qu’il n’avait que très rarement connu.
    
    Le matin, au petit-déjeuner pour lequel il était allé chercher pain frais et croissants pendant mon sommeil, je me suis réveillé plein de lui, de son odeur incrustée sur ma peau, de sa semence, plusieurs fois ...