1. Mariage Kabyle (7)


    Datte: 16/02/2023, Catégories: Gay Auteur: Calinchaud, Source: Xstory

    Ma décision
    
    Rentrés chez Omar, j’étais dans les bras de Kamel dont les effluves qu’il dégageait me mettaient complètement en transe. Nous nous étions beaucoup amusés pendant cette soirée, comme des fous, j’avais même joué être leur « ballon » que les garçons s’envoyaient de l’un à l’autre, avec beaucoup de précautions toutefois, bien maintenu à chaque « réception » et m’accrocher à leur cou ou à leur torse pour ne pas m’écrouler par terre. A l’époque, je ne pesais pas bien lourd et c’est à grands éclats de rire que je me prêtais à leur divertissement, sans ambiguïté aucune, même si quelquefois, des mains me maintenaient les fesses un peu plus que nécessaire. Mais quel plaisir de passer de bras d’hommes en bras hommes, effleurer à chaque fois, ces corps si masculins.
    
    Devant l’hilarité de toute l’assemblée, plus encore de celle des femmes présentes, rouge comme une pivoine, je me suis enfin assis à côté d’elles pour descendre au moins une demi-bouteille d’eau et deux verres de thé à la menthe. Notre « spectacle » avait fait fureur et remporté un franc succès.
    
    Kamel avait les yeux qui lui sortaient de la tête, tellement mes caresses étaient nettement plus appuyées, de la pointe de mes ongles, il adorait ça, tout en restant néanmoins discrètes, lorsqu’on me lançait dans ses bras. C’était du feu qui sortait de ses prunelles et bien évidemment, je me régalais de l’avoir autant excité, j’avais tout fait pour ça, sachant que j’allais prendre cher... très cher... !!!
    
    — Il ...
    ... est tard, Marc, on est tous un peu fatigués... Je te ramène chez Omar ?
    
    — Ce n’est pas de refus... mais tu restes avec moi, OK ? Pas envie d’être tout seul dans cette grande maison alors qu’il est pas là.
    
    — T’inquiète pas... Il me l’avait demandé de toute façon.
    
    Une fois le seuil franchi, il s’est jeté sur moi, m’a pris dans ses bras puissants. J’avais l’impression qu’une dizaine de mains caressaient mon corps, que plusieurs lèvres me couvraient de baisers, que des litres de phéromones s’exfiltraient de chaque centimètre de sa peau, et que son odeur naturelle que j’aimais tant avait été décuplée par cette soirée.
    
    Il puait le sexe, il exsudait cette senteur si spéciale que dégagent les hommes lorsqu’ils sont en rut, lorsqu’ils ont besoin impératif d’un accouplement fort et puissant, lorsque leur membre exige de perforer profondément l’orifice qui est leur écrin, lorsque seul leur cerveau reptilien fonctionne, celui qui réclame la copulation et que leur sang ne leur permet plus que de faire fonctionner leur bite. Le plus bel instinct du Mâle... !!!
    
    — Tu m’as bien allumé... Et bien, assume... !!!
    
    Appuyé, bien maintenu contre le mur par sa force incroyable, mon short arraché, en lambeau parterre, sachant que je ne portais jamais rien dessous pour laisser ma chatte libre, son pieu m’a transpercé d’un coup, en entier, dur comme du bois, chaud comme de l’acier en fusion. Je ne sais pas si c’était dû à la bestialité de ce coït hors normes, mais j’avais l’impression ...
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