1. Maud


    Datte: 03/09/2018, Catégories: fh, ff, jeunes, fépilée, noculotte, Masturbation intermast, Oral pénétratio, uro, bourge, Auteur: Mike be, Source: Revebebe

    ... et entama un lent mouvement de bas en haut. L’effet de cette caresse nouvelle pour moi ne se fit pas attendre. Déjà bien excité par sa fellation, je sentis le plaisir arriver. Et soudain ce fut l’explosion. J’eus un orgasme intense et après quelques secondes d’un bonheur inouï j’éjaculai mes jets de sperme sur sa poitrine.
    
    Depuis ce jour, notre relation évolua et devint « entière » après une semaine. La pilule n’était à cette époque qu’à ses premiers balbutiements et le seul moyen contraceptif à notre disposition était le bon vieux préservatif - qu’il fallait toujours aller acheter dans une pharmacie, ce qui était à chaque fois un exercice stressant, à attendre qu’il n’y ait personne dans l’officine pour réaliser son achat « honteux » !- Mais la capote avait sur moi un effet bénéfique. Elle diminuait suffisamment la sensibilité de mon organe pour remédier à mes éjaculations précoces.
    
    Au début de l’été, j’obtins mon diplôme d’ingénieur sans problèmes. Le marché du travail s’ouvrait à moi. Mais je n’avais pas fort envie de quitter ce monde universitaire et mes parents acceptèrent que je m’inscrive pour des cours complémentaires (deux années) en « électronique appliquée ». Aujourd’hui l’on parlerait d’informatique ; mais n’oublions pas qu’à cette époque l’expression «cerveau électronique » venait à peine d’être remplacée par « ordinateur ». Et quels ordinateurs ! Les appareils qui prennent aisément place dans la main à ce jour, nécessitaient toute une pièce, en 1967. Je ...
    ... ne m’étendrai pas plus sur ce complément d’études, ce n’est pas le but de cette histoire. À l’issue de la première année, mon prof de « programmation » m’appela un jour dans son bureau. Je savais qu’il « m’avait à la bonne », comme l’on dit chez nous, et c’est donc sans appréhension que je m’y rendis. Après quelques banalités, il me fit savoir que j’étais un de ses meilleurs éléments (la modestie n’est pas mon fort) et que j’avais de belles possibilités d’avenir.
    
    — Mais ce n’est pas de cela dont je veux vous parler. Ce que je vais vous dire doit rester strictement entre nous.
    — C’est promis, lui répondis-je.
    — Parfait. Je sais que vous n’avez pas trop de difficultés à séduire les filles !
    
    Je restai sans voix. Où voulait-il en venir ?
    
    — Je me doute, continua-t-il, que ma question vous paraît insolite, mais j’aimerais que vous séduisiez une fille de votre entourage immédiat.
    — Je… je ne comprends pas du tout, balbutiai-je.
    
    Et il m’expliqua. Durant un stage aux États-Unis, il avait acquis de sérieuses connaissances en programmation et avait lui-même mis au point un programme (aujourd’hui « logiciel ») destiné aux grandes entreprises.
    
    — Dans vingt ans, l’électronique aura conquis toute la planète. Avec mon programme, les grandes entreprises vont gagner incroyablement de temps en paperasseries, telles que par exemple la gestion de stock, la comptabilité etc. Je veux être le premier sur le marché. Déjà en Amérique, des projets de ce genre sont à la recherche. J’ai ...
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