Maud - Histoires de Sexe

Maud

... tout de suite.

Je m’agenouillai et passai ma tête sous sa robe. Maud ne portait pas de culotte. Encore un de ses fantasmes, pensai-je. Puis je commençai un cunni que je voulus le plus tendre possible. Elle jouit presque instantanément dans un grand cri. Ensuite nous nous déshabillâmes et nous couchâmes. Dans la chaleur du lit, elle se colla contre moi et me demanda avec un demi sourire de lui faire l’amour « normalement ». Je la caressai d’abord longuement avec la main. Puis, la sentant sur le point de jouir, je me couchai sur elle et la pénétrai d’un coup.

— Oh ! Oui, c’est bon, cria-t-elle, j’y suis presque. Jouis en moi, je veux sentir ton sperme remplir mon ventre. Viens, maintenant, MAINTENANT ! Et tandis qu’elle était terrassée par sa jouissance, les contractions de son vagin eurent raison de ma résistance. Dans un réflexe instinctif, j’eus tout juste le temps de me retirer et j’éjaculai sur son ventre. Je n’allais tout de même pas la mettre enceinte !

Plus tard, un peu calmés, nous étions allongés côte à côte. Je lui dis :

— Tu sais, je suis heureux, ce soir. D’abord ce bon dîner, puis l’amour avec toi, et de plus, j’ai réussi ce matin un joli coup en bourse.
— Ah oui ? Raconte-moi.
— Ben, figure-toi que depuis quelques mois je possède des actions de la société X. Aujourd’hui, son cours a pratiquement quadruplé et j’ai vendu. Le bénéfice est assez conséquent. Voilà pourquoi je t’ai invitée à mes ...

... frais.
— La société X ? dit-elle, mais c’est moi qui possède pratiquement toutes les parts !
— Vraiment, fis-je faussement étonné, mais dans ce cas il faut vendre, et vite. Rends-toi compte ; tes actions valent aujourd’hui quatre fois leur valeur d’achat. Tu t’imagines le bénéfice que tu vas réaliser ? D’autant plus que la concurrence arrive ; bientôt les américains seront là avec des produits semblables. Il est sûr que d’ici quelques semaines le cours de tes actions va fortement chuter !

Elle réfléchit quelques minutes. J’attendais sa réaction, le cœur battant, durant ces minutes qui me parurent des heures. Puis elle dit :

— Si tu le dis. C’est décidé, demain je vends. Merci du tuyau. Cela mérite une récompense !

En disant cela, elle disparut sous les couvertures et prit mon membre flasque dans sa bouche. L’effet de ces lèvres chaudes ne se fit pas attendre et bientôt je bandais comme un âne. Je rabattis la couverture pour pouvoir suivre de visu la fellation. Je résistai assez longtemps, vu mon orgasme précédent, mais elle tint bon. Elle se masturbait en même temps et cette vue suffit à faire monter ma jouissance. Elle parvint au plaisir quelques secondes avant moi. Et tandis qu’elle était secouée par les spasmes de son orgasme, je déchargeais mon sperme chaud dans sa bouche.

Après cela, une seule pensée resta dans mon cerveau : je venais de gagner 25 000 euros.

* kot = chambre d’étudiant en Belgique