La moniale démoniaque (3)
Datte: 16/02/2023,
Catégories:
Lesbienne
Auteur: zooph34, Source: Xstory
... enfilons chacune une jupe et un corsage et nous sortons de la boutique. La vendeuse nous offre un string à chacune, ce n’est pas tous les jours qu’elle vend six jupes et six corsages d’un seul coup, nous les prenons pour ne pas la vexer, mais ils vont rester au fond d’un tiroir, c’est sûr. Nous marchons dans la ville, pour une fois, je sens l’air sur mes jambes, c’est une sensation assez agréable.
— Dis donc, tu ne trouves pas que la vendeuse nous regardait drôlement ?
— Oui, comme toutes les lesbiennes, elle regarde les femmes, surtout quand elles sont à moitié à poil comme nous.
— Tu crois qu’elle est lesbienne ?
— Oui, c’est sûr, en plus, elle est très jolie et elle est pas mal foutue.
— Ça, je te l’accorde.
Nous rentrons à la maison, nous allons ranger les affaires dans la penderie, je prends le sac en papier dans lequel la vendeuse a mis les strings pour les ranger dans un tiroir. En les sortant, je trouve un morceau de papier. Je regarde, c’est un numéro de téléphone. Je mets les strings dans le tiroir et vais voir Margaux.
— Devine ce que la vendeuse a mis dans le sac des strings.
— Ne me dis pas qu’elle nous a donné son numéro de téléphone.
— Exactement, je suis assez étonnée, mais pas spécialement surprise.
— C’est vrai qu’elle nous regardait avec envie, tu ne voudrais pas savoir ce qu’elle veut ?
— Mais c’est évident ce qu’elle veut, le tout est de savoir si nous voulons le lui donner.
— Tu es contre ?
— Je ne sais pas, elle ...
... est très belle, j’avoue que je ne suis pas restée indifférente en la voyant, pas toi ?
— Moi aussi, allez, téléphonons-lui, on verra bien.
— OK.
Je lui téléphone, elle est très heureuse que nous l’appelions si vite, elle est libre ce soir après son travail, elle peut être chez nous vers dix-neuf heures trente, je lui dis que nous l’attendons. Nous allons prendre une douche ensemble, crapuleuse comme d’habitude. Nous nous préparons pour l’accueillir, nous voulons qu’elle aime ce qu’elle voit. Nous enfilons une jupe courte et un corsage. Nous préparons un apéritif, nous sommes un peu excitées, c’est la première fois qu’il risque d’y avoir une tierce personne dans notre lit, nous appréhendons un peu. A dix-neuf heures vingt-cinq, on sonne. Nous allons ouvrir la porte ensemble, elle est là devant nous, elle s’est changée, elle porte une jupe plissée assez courte avec un tee-shirt qui lui moule sa superbe poitrine nue. Nous la faisons entrer, elle semble un peu intimidée, je la fais assoir dans un fauteuil en cuir, nous nous asseyons en face d’elle sur le divan.
— Je suis Margaux et voici mon amour Clémence.
— Moi, c’est Aline.
Elle ne serre pas complètement ses jambes, je vois clairement qu’elle a enlevé son string, son sexe nous est exposé, il est bien lisse et un peu bronzé, nous laissons nous aussi nos jambes entrouvertes, elle doit savoir que nous sommes nues sous nos jupes. La discussion s’engage, nous apprenons qu’elle a dix-huit ans, qu’elle vient juste de ...