1. La moniale démoniaque (3)


    Datte: 16/02/2023, Catégories: Lesbienne Auteur: zooph34, Source: Xstory

    La liberté
    
    Mais elle insiste, sa langue vient caresser la mienne, elle la câline, la lèche, la titille. Une de ses mains s’est glissée sous ma chasuble, elle caresse mes seins, j’en éprouve un immense plaisir. Petit à petit, je rentre dans le jeu, ma langue commence à s’animer, je lui rends ce qu’elle me fait, finalement, nos langues s’amusent entre elles, s’aiment et s’enlacent. Elle veut relever la tête, mais je l’en empêche, j’aime trop ce que l’on fait. Je dois céder au bout de quelques minutes, elle se redresse, me regarde, ses yeux sont remplis d’amour, je crois que j’ai le même regard sur elle. Elle se penche sur mon pubis qu’elle a dégagé, sa langue se glisse entre mes cuisses, j’ouvre au maximum mes jambes. Deux minutes plus tard, je jouis une nouvelle fois, elle continue jusqu’à ce que je me détende, elle me lape le vagin, elle me boit. Elle se redresse.
    
    — Bonne nuit ma chérie, je peux t’appeler comme ça.
    
    — Oui ma chérie.
    
    — Quel est ton vrai prénom ?
    
    — Clémence, c’est mon vrai prénom, et toi ?
    
    — Margaux, ça ne fait pas très religieux, c’est pour ça que j’ai choisi Marie Madeleine.
    
    Elle pose une dernière fois sa bouche sur la mienne, nous échangeons un nouveau baiser, j’en profite tout de même pour glisser ma main valide sous sa chasuble et lui caresser les fesses. Elle se redresse, je retire ma main à contrecœur, elle me sourit et quitte la pièce. Je suis seule dans l’infirmerie, je pense à tout ce qui s’est passé dans la journée, je réalise ...
    ... que je ne suis plus sûre d’avoir choisi le bon chemin pour avancer dans ma vie. Mon corps est détendu, je suis calme, sereine, je suis bien, mais je suis seule dans une grande pièce qui résonne, j’avoue que ce n’est pas l’idéal pour s’endormir.
    
    Le lendemain, Margaux vient vers sept heures, elle est accompagnée de mère Gabrielle et d’une autre femme.
    
    — Sœur Clémence dort seule ?
    
    — Oui madame, elle est mieux ici que dans sa cellule au cas où il arriverait quelque chose.
    
    — Oui, mais au cas où il arriverait quelque chose la nuit, il serait préférable qu’il y ait quelqu’un avec elle pour s’en rendre compte.
    
    — Vous pensez que c’est nécessaire, nous pensions que ça suffirait.
    
    — Pas du tout, il faut qu’il y ait quelqu’un la nuit avec elle.
    
    — Très bien docteur, dorénavant sœur Marie-Madeleine dormira dans le box adjacent, vous êtes d’accord sœur Marie Madeleine ?
    
    — Bien sûr, ma mère, c’est aussi mon travail.
    
    — Bon, voyons voir notre blessée, pouvons-nous rester seules ?
    
    — Bien sûr.
    
    Mère Gabrielle et sœur Marie Madeleine sortent, la femme ouvre ma chasuble, le fait que je sois nue ne semble pas la surprendre, elle m’examine de fond en comble. Ses mains se posent sur mon ventre, mes côtes, mes seins qu’elle tâte un instant.
    
    — Pas de problème de petites grosseurs sous les seins ?
    
    — Non, jamais.
    
    Elle continue sur mon pubis et les jambes. Je sens que mon corps est au bord de réagir violemment, il devient très sensible aux stimuli, elle s’en rend ...
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