1. L'avilissement d'Aurore - Partie 01


    Datte: 15/02/2023, Catégories: Non Consentement / À contre-cœur Auteur: byalexandredelafressange, Source: Literotica

    ... une dernière humiliation attend la subordonnée, alors que le troisième milicien s'approche de son cul. Ils savent tous que cet homme a des doigts courts mais inhabituellement épais. Il place sans plus attendre le bout émoussé de son majeur contre le rectum déjà graissé et se met à pousser puissamment.
    
    La belle donzelle ne peut retenir un long "aaaaahhh" prolongé. Les trouffions regardent avec fascination sa petite porte s'élargir pour accueillir l'énorme intrus, passant d'un point plissé à un large anneau de muscle distendu, lisse et brillant, qui accueille l'extrémité du bidasse. Elle essaie de se détendre, de s'habituer au monstre logé dans son anus, alors que le soldat entreprend un va-et-vient, faisant entrer et sortir son majeur. La douleur la traverse alors qu'elle tombe en avant, impuissante, sur la table. Elle tente de ne pas crier, mais l'agonie causée par le doigt massif qui s'étire et frotte la chair tendre de son œillet dilaté est trop forte à endurer.
    
    Un grognement peu digne d'une dame lui échappe de la gorge chaque fois que la brute enfonce son majeur, suivi d'un faible gémissement lorsqu'il le retire. Les militaires et le douanier bavent pratiquement à la vue obscène de l'anneau anal élargi de l'auxiliaire, tandis que le doigt noir et gras glisse sans relâche dans et hors de son rectum. Ses feulements sont une douce musique pour leurs oreilles perverses.
    
    Le militaire retire enfin son ongle du derrière d'Aurore avec un « plop » humide. Son anus, rose ...
    ... et rugueux, est resté ouvert pendant quelques secondes avant de se contracter lentement pour reformer un plissement normal. La pièce est calme, à l'exception de la respiration lourde de la jeune femme et des individus. Le silence -et l'érotisme de la situation!- est soudainement interrompu lorsqu'elle se libère avec une série de pets bruyants, les soldats riant de manière hystérique de son malaise.
    
    Concentrée, elle ne remarque pas que l'un des sous-officiers ramasse la pile de vêtements, les place dans sa valise et emporte celle-ci vers la pièce voisine, qui débouche sur un parking en tarmac situé à l'arrière de l'aéroport. Une berline y stationne. Il ouvre le coffre de celle-ci et place le bagage de la secrétaire dans ce dernier. Il s'agit de la voiture du Préfet, dans laquelle somnole un chauffeur, qui fait signe au militaire. Derrière les vitres teintées, Désiré, le haut fonctionnaire, s'adresse à son ami Daniel Guérin :
    
    - Le spectacle est terminé, mais la suite va seulement commencer!
    
    Avant de libérer l'auxiliaire, toujours retenue dans la pièce ayant servi aux contrôle des bagages, le douanier invite celle-ci à signer un document rédigé en béninois : - C'est pour confirmer que la fouille s'est déroulée dans les formes légales.
    
    Sans réfléchir, toujours sous le coup de l'émotion, elle signe avant d'être guidée par l'un des soldats.
    
    - Vous pouvez partir, Madame, la sortie est par là! indique, goguenard, l'agent des douanes.
    
    - Mais... Et mes vêtements?
    
    - ...
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