L'avilissement d'Aurore - Partie 01
Datte: 15/02/2023,
Catégories:
Non Consentement / À contre-cœur
Auteur: byalexandredelafressange, Source: Literotica
... état d'engourdissement, la jeune femme est désormais très consciente de sa presque nudité.
Son tanga noir laisse une grande partie de ses hanches et de son ventre plat nus. Ses seins, situés entre des bonnets B ou C, sont désormais à découvert. Seules ses chaussettes blanches lui offrent une fine protection. Les militaires jacassent joyeusement entre eux dans leur langue maternelle, commentant évidemment ses charmes.
Le fonctionnaire sournois fouille méticuleusement les poches de son pantalon, tout en gardant les yeux rivés sur sa poitrine. La situation est terrifiante, pense-t-elle, sachant qu'elle est complètement sous son contrôle. Elle sait aussi qu'elle sera dépouillée dans quelques minutes. Elle peut voir combien les individus scrutent son corps.
En levant les jambes une par une, elle enlève ses socquettes, avec peur, et pose ses pieds sur le sol. La fraîcheur du béton rayonne sur son corps et un frisson involontaire la traverse lorsque l'agent l'invite à enlever sa dernière protection : - Le string, s'il vous plaît!
Aurore glisse ses doigts dans la ceinture de celui-ci et le glisse sur ses hanches. Son sexe blond, délicatement épilé, seul un « ticket de métro » ornant son mont de vénus, est soudain exposé à quatre paires d'yeux masculins. Les blacks la regardent en silence, hypnotisés. La plupart n'ont jamais vu une fille blanche sans le moindre vêtement. Ils s'émerveillent devant ce corps : les cheveux de couleur blé, une peau pâle, des mamelons roses et, ...
... plus fascinant encore, le peu de poils pubiens présents.
Le douanier tend la main, réceptionne le dessous et, après l'avoir examiné, le dépose sur le fauteuil.
La pile de vêtements est maintenant complète. Tout ce que l'assistante portait lorsqu'elle est entrée dans la pièce est sur un vieux siège totalement défraîchi, la laissant nue comme à sa naissance. Elle est figée, debout, les bras le long du corps, n'essayant pas de se couvrir, tandis que les trouffions la dévorent d'un regard libidineux.
- Mettez vos mains derrière la tête! ordonne brusquement le policier. Elle fait ce qu'il demande, les coudes sortis. Son public regarde ses seins fermes être relevés et poussés vers l'avant, ses tétons sans défense pointant droit sur eux. - Les jambes écartées, aboie l'agent. L'auxiliaire positionne ces dernières de façon à ce que les pieds soient à la largeur des épaules. Les yeux des bidasses se dirigent vers l'entrejambe de la jolie blonde, où ils peuvent voir distinctement les petites lèvres roses.
Sans vêtement devant des Africains habillés : une vague de honte la submerge, au moment où fusent de nouvelles instructions. - Marchez jusqu'au mur du fond et revenez, puis continuez de vous déplacer jusqu'à ce que je vous dise d'arrêter. La subalterne se retourne et se dirige vers le pan souhaité, les soldats la suivant des yeux, le regard rivé sur son cul, ses fesses haut perchées et fermes oscillant à chaque pas.
Atteignant le mur, elle se retourne et marche vers les ...