1. Belle-sœur de l'Empereur - 1


    Datte: 15/02/2023, Catégories: fh, jardin, Voyeur / Exhib / Nudisme Oral pénétratio, fsodo, historique, historiqu, Auteur: Patrik, Source: Revebebe

    ... qu’à lui, et en même temps comme si j’avais une totale emprise sur mon époux.
    
    Mon mari soupire béatement d’aise :
    
    — Quel bonheur ! C’est si bon d’être là où je suis ! Évitez de trop bouger sinon je ne réponds plus de rien, et j’ai envie de faire perdurer cet instant de félicité !
    — En clair, si je bouge, vous vous videz ?
    — C’est bien résumé, adorable Wilhelmine. Et il serait dommage que vous soyez obligée de vous balader toute souillée durant un certain temps.
    — Oh, qui sait… ça pourrait me plaire…
    
    Karl me regarde d’un air très étonné. J’aime quand je le surprends de la sorte. Il devient pensif, puis finit par avouer :
    
    — Ce serait en effet une expérience à tenter…
    — Tout comme les gros mots ?
    — Tout comme les gros mots, c’est parfaitement exact.
    
    Je me serre contre lui, telle une chatte :
    
    — Vous ne m’avez pas dit ce que vous attendez de moi… Les gros mots sont un vaste domaine, vous savez.
    — Vous ne m’apprenez rien, ma coquine Wilhelmine. Je pense qu’il convient de commencer par le commencement, c’est-à-dire gentiment, puis nous progresserons petit à petit.
    
    Je questionne mon mari :
    
    — Allez-vous en dire, vous-aussi, Karl ?
    — Ça me semble être la moindre des choses : vous en dites, j’en dis aussi.
    
    Je deviens plus câline :
    
    — Alors, dites-moi dans le creux de l’oreille que je suis votre garce !
    — Wilhelmine !!
    — Allez, allez !
    
    Karl se prend au jeu, il approche ses lèvres de mon oreille et y murmure :
    
    — Vous êtes la plus belle garce ...
    ... que j’ai jamais vue !
    — Hmmm… C’est vrai, ce mensonge ?
    — Je peux vous affirmer que vous êtes ma merveilleuse garce !
    
    Je reconnais que ce n’est pas faux, sachant que mon mari ne me trompe pas. Je sais, je sens qu’il est trop attaché à moi pour l’instant, et nous sommes presque toujours ensemble, lui et moi. Par amusement et par curiosité, je décide d’activer sérieusement les choses en susurrant de façon fort lascive :
    
    — Ah oui ? Je suis votre merveilleuse garce, celle que vous avez envie de baiser tout le temps, celle dans laquelle vous enfoncez votre grosse bite ?
    
    Karl me regarde d’un air stupéfait, il ne s’attendait pas à ce que je puisse dire des choses pareilles ! Et pour bien marquer mon territoire, je remue du bassin, m’empalant mieux encore sur sa verge bien raide, et en continuant mes petites insanités :
    
    — Qu’est-ce que vous attendez, gros cochon, gros pervers ! Venez remplir votre petite garce, venez vider votre grosse bite en moi !
    
    Mon mari fait un effort surhumain pour se contenir, il gémit :
    
    — Ah, Wilhelmine !
    — Je croyais que j’étais votre dévergondée de petite garce ?
    
    Il explose dans un grand râle dans lequel j’entends souvent le mot « garce » prononcé entre deux cris. Soudain, la tête rejetée en arrière, mon mari s’oublie complètement :
    
    — Ah, tu veux ma grosse bite, petite garce ? Tu vas l’avoir encore et encore ! Aaah ! Ooh !
    
    Est-ce que Karl se souviendra de cette phrase ? Si oui, s’excusera-t-il ? Ou tentera-t-il de l’enfouir au ...