Belle-sœur de l'Empereur - 1
Datte: 15/02/2023,
Catégories:
fh,
jardin,
Voyeur / Exhib / Nudisme
Oral
pénétratio,
fsodo,
historique,
historiqu,
Auteur: Patrik, Source: Revebebe
... ont même été divisées en hauteur, aménageant ainsi deux niveaux et parfois trois. La grand-tante de mon mari détestait les vastes salles, et elle a passé son temps à segmenter ses appartements, s’amusant à changer en permanence la disposition. Résultat, cet endroit est presque devenu un labyrinthe, avec même des pièces quasi-secrètes !
C’est mon mari qui m’a fait découvrir cet endroit insolite. Je peux m’y aventurer quand je veux, personne ou presque ne vient. D’ailleurs, il n’est pas rare que Karl m’y entraîne pour m’expliquer et concrétiser des choses que la morale réprouve peut-être, mais que je ne déteste pas du tout !
J’aime aller m’y rendre de temps à autre, surtout qu’il y a plein de livres dans certaines pièces, et quand mon époux doit s’absenter, il n’est pas rare que j’emprunte un livre pour aller le lire, bien cachée dans ce dédale, près d’une fenêtre ou d’une cheminée.
Aujourd’hui, comme mon mari a dû s’absenter pour des raisons protocolaires, plutôt que d’aller flâner dans les jardins, j’ai préféré venir me nicher ici. Alors que je suis en train de lire un livre, soudain, j’entends des voix de l’autre côté de la cloison où est accroché un petit tableau. Avoir l’ouïe fine n’est pas toujours une bénédiction. Je crois reconnaître la voix de Karl. Intriguée, je m’approche de cette cloison, puis je m’accroupis pour coller mon oreille afin de mieux entendre. En levant les yeux, je remarque qu’il y a un peu de lumière entre la cloison et le cadre de la ...
... peinture. Intriguée, je décroche la toile. C’est alors que je découvre un judas auquel je colle mon œil. Je découvre que mon mari et son ami Soulzbach sont présents dans la pièce voisine.
— Finalement, Karl, vous voyez que nous avons pu expédier ces formalités plus vite que prévu !
— Ce n’est pas un mal ! C’était déjà trop long, mais nos avantages valent bien quelques désagréments ! Je n’aurais pas la naïveté de croire qu’il n’y en ait pas.
Un sourire très amusé sur le visage, Randolph von Soulzbach demande à mon mari :
— En parlant de naïveté, n’abusez-vous pas un peu de celle de votre jeune épouse ?
— Vous n’avez pas tort, je le reconnais…
— Et vous n’avez pas peur qu’elle s’en rende compte un jour ?
— J’espère que non… Pour tout vous dire, Randolph, tout ceci n’était pas planifié ! Non… j’avais prévu d’être le mari qu’on me demandait d’être, sans plus. Mais quand j’ai découvert pour de vrai Wilhelmine, je me suis dit que j’avais finalement une incontestable chance.
L’ami de mon époux récite :
— Vos propres paroles étaient : « Honnêtement, je m’attendais à pire »…
— Je me rappelle très bien ce que j’ai pu dire ce jour-là et je ne le renie pas. Quand j’ai découvert les bonnes dispositions de ma femme, je me suis retrouvé dans la peau d’un jardinier qui vient de dénicher un terreau très fertile, alors, j’ai décidé de planter diverses graines afin de voir quelles magnifiques récoltes je pouvais obtenir !
Se fendant d’un large sourire, Soulzbach fait remarquer ...