1. Belle-sœur de l'Empereur - 1


    Datte: 15/02/2023, Catégories: fh, jardin, Voyeur / Exhib / Nudisme Oral pénétratio, fsodo, historique, historiqu, Auteur: Patrik, Source: Revebebe

    ... plaisir. Car une partie du mien réside justement dans la félicité que je donne. Vous me suivez, ma douce ?
    — Oui… oui…
    
    La barque s’approche de plus en plus du temple planté au milieu du lac. Mon mari poursuit :
    
    — Très bien, Wilhelmine. Mais il existe une deuxième porte, celle de Nacre, celle de votre exquise bouche. Comme vous me l’avez si bien démontré ces dernières nuits !
    — Vous êtes obligé de me rappeler ces… euh… instants ?
    — Avez-vous honte ? Est-ce que ça ne vous a pas plu ?
    — Honte, un peu, mais je ne saurais dire à quel point. Est-ce normal entre époux ?
    — Moi, je dirais oui, mais les austères diront non. Ce plaisir est très jouissif pour l’homme, et moins pour la femme. Quel est votre avis ?
    — Je… j’ai bien vu que ça vous faisait beaucoup de bien, et j’aime beaucoup quand vous êtes dans ce… dans cette situation-là.
    — Donc, comme moi, vous trouvez votre plaisir à donner du plaisir ?
    
    Assez troublée, je murmure :
    
    — Oui…
    — C’est très bien, chère Wilhelmine. C’est une nouvelle preuve que nous regardons dans la même direction. Ah, en parlant de direction, nous sommes presque arrivés sur l’île.
    
    Peu après, mon mari m’aide à sortir de la barque, puis nous nous dirigeons vers le petit temple rond planté au milieu de l’îlot. Nous montons quelques marches de marbre. Au centre, se dresse une statue dénudée d’Aphrodite. Celle-ci est majestueuse et en même temps si proche. La contemplant, Karl s’exclame :
    
    — Belle statue, n’est-ce pas ?
    — Oui, en ...
    ... effet, mais cette belle statue possède quelque chose qui me semble… familier…
    — Ah, vous avez remarqué ? Il s’agit en réalité de la statué idéalisé d’une des maîtresses de mon grand-père maternel. Comme vous le constatez, elle a quelques traits familiers avec vous.
    — Plutôt avec ceux de ma mère.
    — Ce qui n’est pas faux, puisque la maîtresse de mon grand-père n’était d’autre que votre grand-mère…
    
    Je m’exclame à mon tour :
    
    — Vous… vous plaisantez ?
    — Non, pas du tout. Je ne me trompe jamais dans l’arbre généalogique un peu embrouillé de nos familles, il est avéré que mon grand-père maternel était le petit-cousin de votre grand-mère maternelle, la même relation d’entre vous et moi.
    — Ah bon ?
    — On dit aussi que mon grand-père fut très fidèle à votre grand-mère, nettement plus qu’envers sa propre épouse légitime. Ils n’ont pas eu notre chance, hélas… Ils n’ont pas pu se permettre de vivre au grand jour…
    — Euh… en effet…
    
    Je reste silencieuse, songeant à cet amour brisé. Les choses sont mal faites. À y bien réfléchir, j’aurais pu tomber nettement sur plus mal que Karl en tant d’époux. Bien que je n’aie pas fait de recherche approfondie sur le cas, le nombre de couples mal assortis doit être énorme. J’en viens même à me dire que c’est peut-être… non, sans doute, la grande majorité des cas. Je frissonne.
    
    Mon mari me demande :
    
    — Auriez-vous froid, Wilhelmine ?
    — Non, non… je songeais à la possibilité de mal tomber…
    — De mal tomber ? C’est-à-dire ?
    — Pour un ...
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