1. Gare à Goupil, Duchesse ! (1)


    Datte: 15/02/2023, Catégories: Hétéro Auteur: Bugsy, Source: Xstory

    ... se surveillent, commentant ses moindres faits et gestes. De son côté, elle sait très bien que favoriser l’un serait par la suite source de ragots dans tout le château d’abord, avant que cela aux alentours ne se répande. Elle reste donc très digne, austère et distante, diront les uns.
    
    Mais encore une fois Elvire tient son rang et fait régner l’ordre parmi la valetaille.
    
    Pourtant ses envies se font de plus en plus pressantes. Son esprit et son corps réclament des caresses, réclament des plaisirs. Chose qu’elle n’avait jamais faite, elle apprend de ses doigts à connaître son corps, et bientôt, tout comme d’instinct elle a trouvé les caresses qui excitaient le mieux le duc, elle trouve celles qui lui donneront, seule, le plus de plaisir. De son sexe délaissé à ses seins lourds de désirs, ses doigts courent et se multiplient pour mieux la faire jouir. À tel point que Jeanne, devant qui sans pudeur elle joue avec son corps, doit parfois mettre sa main sur ses lèvres pour empêcher des cris de plaisir d’ameuter tout le château.
    
    La complicité entre les deux femmes s’est encore développée. Elvire s’appuie sur Jeanne, aime comparer avec elle le désir qu’elle ressentait avec son époux, fait parler sa servante en lui demandant son ressenti. Mais bientôt cela ne lui suffit plus. Pourtant, Jeanne dont le père est tanneur, lui a offert un bel olisbos fait de lanières de cuir, parfaitement représentatif, qui pendant un temps lui procure un infini bonheur. Mais tout a une fin, et ...
    ... bientôt le jouet ne lui suffit plus, même si, pour se satisfaire un peu plus, elle a souvent invité Jeanne à s’en servir également, et cela devant elle. De là, bien sûr, sont nés quelques attouchements entre les deux femmes ; et la langue de Jeanne prenant possession de son intimité lui a procuré beaucoup de frissons, tout comme elle a adoré elle-même donner du plaisir à sa belle camériste.
    
    Mais, les années passant, Elvire est de moins en moins satisfaite, de plus en plus désireuse de retrouver en elle cet organe palpitant qui déverse sa semence au plus secret de son intimité. Au bout d’un moment, à court d’arguments, Jeanne lui a craintivement proposé... les nombreux chiens des meutes de son époux. Ce jour-là, Elvire a failli congédier sa servante, et ce n’est tout d’abord que parce qu’elle redoute que, la servante partie, les échos de ses masturbations, de ses séances où elle s’introduisait bruyamment l’olisbos en elle, et sa relation intime avec Jeanne soit divulguée aux alentours qu’elle s’est retenue.
    
    Cependant, l’idée en elle a fait son chemin, et elle ose maintenant en parler à Jeanne qui lui rapporte des « on dit » selon lesquels des femmes parfois se font prendre par des chiens... et qu’elles en ressentent beaucoup de bonheur. Tout cela la révolte bien un peu. Elle trouve cela « sale et indécent », mais d’un autre côté elle a souvent vu un chien saillir une chienne, et elle a ainsi pu apprécier la vigueur du mâle, la longueur de son sexe. Et puis, toujours selon ...
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