1. Vous êtes vraiment plus difficile que beau


    Datte: 02/09/2018, Catégories: fh, fagée, extracon, grosseins, groscul, lunettes, collection, jalousie, noculotte, BDSM / Fétichisme Oral préservati, pénétratio, fdanus, portrait, Auteur: XXL, Source: Revebebe

    ... lâchement de sa fragilité féminine. Moi, je n’avais rien demandé alors que cette friponne s’évertuait déjà, avec ses petites mains potelées, à raidir mon membre. C’était un phénomène, Édith, elle voulait des tonnes de caresses et partout. Elle se montra reconnaissante de ma conscience professionnelle et me permit d’assouvir un vieux fantasme : à quatre pattes en travers du lit, face à moi, Édith m’offrit une fellation appliquée, lente et longue pendant que mes mains pétrissaient ses divines mamelles. Je conclus par une levrette latérale vigoureuse qui se termina par un splendide lâcher de spermatozoïdes.
    
    J’attendais quelques compliments mais, en vain. C’était la première fois que j’éjaculais dans une dame en train de dormir !
    
    Le lendemain mâtin, Jojo, frais comme une rose, engloutit avec un fort bon appétit son petit-déjeuner, sans attendre son épouse. Comme je le félicitais de sa forme olympique, Jojo m’expliqua qu’il appliquait à la lettre le régime Winston Churchill : un whisky tous les jours, un petit cigarillo le dimanche et surtout, l’essentiel, pas de sport ! Avec un sourire jovial, il ajouta que cela lui avait permis de n’avoir jamais mis un pied dans un hôpital jusqu’à ce jour. Pour achever mon humiliation d’avoir été pris pour un demeuré par Édith, Jojo, assez fier de lui, ajouta qu’il remplissait encore gaillardement son devoir conjugal, au moins deux fois par trimestre !
    
    La dernière révélation sur mon originale et secrète voisine me laissa pour le ...
    ... moins sceptique.
    
    Hélène était dans le sud, invitée par sa fille pour une dizaine de jours. Elle m’avait laissé ses clefs pour vérifier que tout était en ordre dans sa maison et pour ouvrir la porte à une dame qui viendrait s’occuper de ses précieuses orchidées. Anne, sa partenaire d’Aquagym, suivait à la lettre les instructions horticoles précises laissées par Hélène. Bien que j’estimais son âge à une petite quarantaine, le moins que l’on puisse dire c’est qu’Anne n’avait pas l’air de s’intéresser beaucoup à la mode. Une jupe plissée qui descendait bien en dessous du genou, un chemisier d’une autre époque, boutonné jusqu’au cou. De grande taille, avec ses cheveux raides décolorés en blond jaune, ses grosses lunettes et ses formes un peu trop rondes, Anne ne correspondrait jamais aux canons de la beauté imposés par les magazines. On parla d’Hélène, donc, des vacances proches, des miennes et des siennes. Anne se lamentait de retourner encore en Savoie, où son mari adorait souffrir, à vélo, dans un col du tour de France. Elle enviait mon futur voyage à Rhodes car elle n’avait jamais pris l’avion de sa vie. Son mari avait une trouille bleue des aéroplanes et, comme il ne savait pas nager, Monsieur ne voulait pas entendre parler de croisières. Quand je lui demandai si une journée à Venise pour moins de 50 euros pouvait l’intéresser, elle crut que je lui faisais une plaisanterie de très mauvais goût. Pourtant ce n’en était pas une du tout. Le temps de donner un coup de fil à une ...
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