1. Vous êtes vraiment plus difficile que beau


    Datte: 02/09/2018, Catégories: fh, fagée, extracon, grosseins, groscul, lunettes, collection, jalousie, noculotte, BDSM / Fétichisme Oral préservati, pénétratio, fdanus, portrait, Auteur: XXL, Source: Revebebe

    ... m’occuper des apéros : une marmite de cinq litres d’authentique punch créole, et une autre de sangria maison. Justement, j’avais besoin de son fils pour transporter les marmites car les invités n’allaient pas tarder.
    
    Où était-il ce grand dadais d’Alexandre ? Celui qui préférait regarder le foot à la télé ou jouer sur l’ordinateur plutôt que de sortir en boîte. Faut dire que le jeune diplômé d’un mètre quatre-vingt-six avait un énorme complexe dû à une calvitie déjà bien avancée. En plus Alexandre était presque introverti, peut-être parce qu’il n’avait été élevé que par des femmes : sa maman, mère célibataire et sa grand-mère.
    
    Jean aussi cherchait son épouse car elle avait la caméra numérique dans son sac à main. Jean est le mari d’Isabelle, la fille cadette d’Hélène. Isabelle avait épousé un médecin à la retraite, quelques années plus tôt, et le couple s’était établi dans le Var. Isabelle a vingt ans de moins que lui mais ils avaient l’air de vivre en parfaite harmonie.
    
    Claire me conseilla d’aller jeter un coup d’œil dans sa chambre de jeune fille où son fils devait certainement pianoter sur son ordinateur portable. Effectivement, Alexandre était dans la chambre dont la porte était entrouverte. Debout, bien campé sur ses longues et frêles jambes, le pantalon et le caleçon sur les chevilles, il enfilait laborieusement un préservatif sur un sexe raide, tout en longueur. Sa tante Isabelle, que je ne voyais que de trois quarts, avait soulevé le bas de sa robe et se ...
    ... débarrassait de sa petite culotte en nylon, jaune abricot. La tata d’Alexandre, radieuse, posa son buste sur le bureau et, avec les deux mains, elle troussa sa robe jusqu’à la ceinture. D’un discret revers, elle essuya ses lèvres humides et demanda à son neveu de se presser car on allait avoir besoin d’eux en bas très bientôt. Isabelle avait les fesses trop plates mais la foufoune poilue qui émergeait d’entre ses cuisses bien ouvertes me parut sympathique. Agrippée aux bords de la table, Isabelle poussait de petits cris aigus de satisfaction à chacun des coups de boutoir du gadzarts. Je redescendis l’escalier sans faire de bruit avant de l’appeler à l’aide, mais en leur laissant quand même le temps d’achever leurs galipettes. On n’est pas des sauvages quand même ! Je comprenais enfin pourquoi Alexandre passait, chaque année, une dizaine de jours dans la propriété de sa tante, lui qui avait horreur de la chaleur.
    
    En installant les marmites d’apéro, je conseillai à Alexandre de prendre certaines précautions avant de s’envoyer en l’air avec sa tante car il aurait pu passer un mauvais quart d’heure si sa grand-mère l’avait surpris. Ce fut l’occasion de ma première révélation sur ma voisine qui me laissa sur le cul, il faut bien le dire : la mamy était au courant !
    
    Hélène avait pris son petit fils entre quatre yeux deux ans avant pour lui demander s’il n’était pas homo, vu qu’il n’avait jamais eu de copine. Le pauvre dut bien avouer que sa calvitie précoce le paralysait devant ...
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