1. Dieu est Amour


    Datte: 14/02/2023, Catégories: f, h, fh, fhhh, hbi, couple, candaul, inconnu, religion, forêt, jardin, anniversai, fsoumise, hsoumis, fdomine, humilié(e), vengeance, Voyeur / Exhib / Nudisme noculotte, Transexuels Masturbation entreseins, facial, Oral pénétratio, hgode, hsodo, Partouze / Groupe attache, BDSM / Fétichisme piercing, confession, déli, Auteur: Olaf, Source: Revebebe

    ... fois envoûtante, car l’objet écarte agréablement l’entrée de mon vagin tant qu’il est manipulé avec retenue.
    
    Après quelques poussées, le gode est laissé à mi-chemin de sa longueur dans mon intimité. Incapable de savoir ce qui m’attend encore, je redoute qu’il devienne un instrument de torture. Je me crispe et tente de serrer mes cuisses. Peine perdue.
    
    D’autant plus que mon attention est maintenant détournée par des caresses ciblées sur les bouts de mes seins. Des salves de caresses en vérité, qui me procurent un vif plaisir au début, puis annulent ce plaisir par leur répétition, pour finir à la limite du douloureux tant la stimulation n’en finit plus d’exciter mes tétons.
    
    Lorsque les premiers signes d’anesthésie se font sentir, le bourreau pince douloureusement les deux mamelons en même temps. Tout mon corps se rebiffe sous la violence de l’assaut. J’arrive juste à retenir un cri de douleur. J’ai accepté cette punition divine et je suis prête à en supporter les conséquences, mais je n’augmenterai pas par mes larmes le plaisir de ceux qui en sont l’instrument.
    
    Avant que mes pointes se remettent du douloureux traitement, quelqu’un a repris la stimulation par le gode. Il entre plus facilement qu’avant, signe que malgré ma peur et ma douleur, je dois mouiller.
    
    Commence alors une longue montée du phallus froid dans mon ventre. Infiniment lente, ce que j’adorerais entre les mains de mon mari, mais vu les circonstances, me fait craindre le pire sadisme. Il ou ...
    ... elle prend tout son temps pour me fouiller. Impossible de savoir quand l’envahissement va s’arrêter. Déjà le fond de mon vagin est poussé par la large tête du gode. Et la montée ne cesse toujours pas.
    
    La sensation est affolante, je suis empalée sur un instrument habituellement prévu pour le plaisir, alors que manipulé de la sorte, il devient l’amère punition pour mes péchés.
    
    Je crispe les muscles de mon ventre et de mon périnée au maximum, tente de toutes mes forces d’expulser le corps étranger. Je sens que d’une seconde à l’autre je ne pourrai plus supporter la tension dans mes entrailles. J’essaie de me tordre dans tous les sens. Peine perdue, la main maintient fermement le gode en moi, juste à la limite du supportable.
    
    Finalement, avant que je craque et renonce à résister, la pression retombe. Aussi lentement qu’il avait été introduit, le gode est retiré, millimètre après millimètre. Le soulagement est de courte durée, car les caresses recommencent sur mes seins, et sur les pointes devenues particulièrement sensibles.
    
    Par ces gestes qui m’exciteraient dans des jeux amoureux au sein de mon couple, les bourreaux veulent justement me priver de toute sensation voluptueuse. Les attouchements mécaniques, l’instrument qui n’a plus rien d’érotique, le manque cruel de tendresse et de désir des tortionnaires sont autant de moyens d’extirper tout plaisir de mon corps. Ce que celles et ceux qui me traitent ainsi confirment par une nouvelle torsion des pointes de mes ...
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