Après la leçon - Histoires de Sexe

Après la leçon

... contre son dos.

— Ils sont comment, mes seins.
— Ils sont lourds, ils sont doux.
— Continue.
— J’aime les soutenir avec mes mains, ils sont énormes.
— Qui ça, ils ?
— Tes seins, tes melons.
— Oui, encore.
— Tes nichons, tes tétés.
— Continue, tu me remplis.
— J’aime tes montagnes.
— Tu es obsédé.
— J’aime les palper par-dessous, j’aime les attraper par-devant, les presser.
— Alors, mouille ta main et caresse le bout.

Malgré le préservatif, j’avais l’impression que ma verge était comme sucée dans son tunnel moelleux et humide. Mes coups de reins m’enfonçaient entre ses fesses un peu molles et contre ses jambes. D’une main je titillais un mamelon, de l’autre je pressais un sein gigantesque, dans tous les sens possibles. C’était incroyable.

— Je vais, je vais…
— Vas-y, lâche-toi, ouiii.

Ma jouissance fut fantastique. Je n’en revenais pas, je pantelais, effondré sur elle. Elle se retira et nous nous allongeâmes, serrés l’un contre l’autre.

— Je suis incroyablement bien, là, bien que j’aie un peu chaud.
— Oh, merci, Colette, c’était fabuleux.
— Tu en avais tellement envie.
— Et vous ?
— Vous ?
— J’ai du mal avec ça. Et toi, alors ?
— Je te l’ai déjà dit, tu me plaisais bien dans ta façon d’être. En même temps, ça me flattait de te plaire comme ça. Et j’ai eu envie de te faire plaisir.
— C’était juste pour moi, alors ?
— C’était surtout pour toi. Pour moi, c’était très ambivalent. En plus, je suis très inquiète à cause des maladies, même si ...

... avec toi il n’y a sans doute pas grand risque. Mais je suis bien, là, tu as été délicat et tu m’as fait beaucoup de bien. Tu veux bien rester encore un peu ?
— Bien sûr, je suis tellement heureux.

Colette me proposa de prendre une douche avant de boire quelque chose ensemble.

— Si tu veux, je peux te savonner, profiter encore un peu de ta peau.

Savonner, quelle bonne idée ! Bientôt, je pus moi aussi passer mes mains partout sur sa peau glissante de savon, en profitant pour palper ses rondeurs. Même, je me plaçai derrière elle, collé contre ses fesses, et pris à pleine main ses seins majestueux. Glissant mes mains par-dessous, du torse vers les mamelons, je sentais leur poids incroyable, puis les pressai l’un contre l’autre pour profiter encore mieux de leur volume énorme et souple. Bien sûr, mon érection n’était pas passée inaperçue. L’attrapant entre ses jambes, Colette commenta :

— Tu es vraiment insatiable. Ah l’ardeur de la jeunesse !

Mais elle semblait apprécier. D’ailleurs était-ce si innocemment qu’elle m’avait savonné partout délicatement, même si elle avait évité de s’approcher trop de moi ?

— Je crois que je suis rassasiée.
— Mais vous me faites trop d’effet !
— J’ai une idée qui devrait te plaire.

Se retournant, elle continua à caresser mon pénis de ses deux mains savonneuses. Puis, enduisant de nouveau de savon liquide sa poitrine, elle se baissa un peu, prit ses seins dans ses mains et captura mon membre entre eux ! Montant et baissant sa ...