1. Après la leçon


    Datte: 14/02/2023, Catégories: fh, fplusag, jeunes, grosseins, douche, Voyeur / Exhib / Nudisme strip, BDSM / Fétichisme entreseins, préservati, pénétratio, init, prememois, Auteur: RRoberts, Source: Revebebe

    ... le père de Nadine payait largement tout le nécessaire pour l’éducation de sa fille, même si elle-même vivait modestement. Après m’avoir donné les quelques billets promis, elle me serra gaiement la main en souhaitant que sa fille progresse vite, en me disant qu’elle avait confiance en moi. Elle s’écarta après avoir ouvert la porte et j’eus une vision rapprochée de ses formes magnifiques. J’avalai ma salive, subjugué et je sortis très vite.
    
    Les jours suivants, je pensais souvent aux seins de madame Rouget, j’essayais de les imaginer, énormes, lourds. Mon expérience en la matière était très limitée : quelques tripotages de filles de mon âge, pas très développées, toujours à travers les vêtements, et les photos de femmes en soutien-gorge des catalogues de vêtements de ma mère. J’avais passé des heures à les feuilleter, et même à me masturber en regardant les plus gros, mais dans mon imagination madame Rouget avait une poitrine encore plus imposante.
    
    Le mercredi suivant, une routine s’installait déjà, Nadine comprenait assez bien, je pouvais la laisser réfléchir toute seule avant de discuter l’exercice avec elle. J’en profitais pour regarder le plus possible sa mère. Au fond, elle était plutôt jolie pour une femme de son âge, un visage rond avec de bonnes joues et des yeux noisette rieurs. Elle portait aujourd’hui un jean qui moulait ses grosses cuisses et ses fesses rebondies, que je m’imaginais agrippant à pleines mains : je ne m’étais pas vraiment calmé depuis la semaine ...
    ... précédente, et madame Rouget me faisait vraiment beaucoup d’effet. Surtout, elle portait un sweater, dont le haut était tendu dans tous les sens par sa poitrine. J’en rougissais : sa poitrine voulait dépasser par-devant et sur les côtés ; le sweater ne la moulait pas, mais je le voyais distendu comme par la masse énorme de deux gros melons. Quand elle bougeait, cette protubérance hallucinante suivait le mouvement avec un peu de retard, dans un ballottement élastique. Madame Rouget surprit de nouveau mon regard fixe, mais cette fois-ci, elle me fixa et c’est moi qui baissai la tête en rougissant de plus belle. Elle me servit une tasse de café, avec un sourire qui me rassura un peu : elle ne me trouvait pas trop goujat. Plus tard, en reprenant ma tasse, elle s’appuya sur le dossier de ma chaise, mais comme elle se penchait, je sentis son sein presser mon épaule : c’était élastique, mais pas mou, j’eus l’impression d’un volume incroyable et je frissonnai sous cette pression douce, mais forte.
    
    Après la leçon, elle m’expliqua qu’elle était contente : Nadine se sentait déjà plus à l’aise au collège pendant les cours de maths et pensait qu’elle allait progresser. Sans me demander, madame Rouget posa sa main sur mon épaule et m’embrassa sur les deux joues. J’aimai bien sentir sa main, et ses bonnes joues sous mon bisou, mais je n’osai pas insister.
    
    Les leçons hebdomadaires se poursuivirent pendant quelques semaines, Nadine progressait et j’étais toujours plus excité à l’idée de ...
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