1. Des collègues entreprenantes (7)


    Datte: 13/02/2023, Catégories: Partouze / Groupe Auteur: papou1973, Source: Xstory

    ... interpréter "Illégal".
    
    Josée se dandine amoureusement devant moi en se caressant les seins par-dessus son déshabillé. Elle se retourne lentement en balançant ses hanches de gauche à droite ou de droite à gauche et quand elle se trouve dos à moi, elle s’accroupit et se relève doucement en me jetant un regard de braise ardente par-dessus son épaule gauche. Elle remonte et redescend comme si elle s’empalait sur mon membre. Tout doucement, elle descend au point où elle se retrouve à quatre pattes devant moi et le mouvement de son cul m’appelle. Je veux me lever mais elle me regarde et vacille son doigt de droite à gauche pour me signifier que "Non. Reste assis !". Ce que je fais.
    
    Changement de chanson à nouveau, "Sign your name" de Terrence Trent D’Arby retentit en sourdine dans mes oreilles. Je sens tout mon sang qui se retrouve dans mon gland. Tellement, que j’en ai mal ! J’ai jamais eu une telle trique. Je n’ose pas me toucher de peur d’exploser !
    
    Josée se relève doucement, se dirige vers moi, en poursuivant sa danse envoûtante et rendue près de moi, elle fait comme si elle s’assoyait sur moi mais me masse la bite avec son cul... Un lapdance !!! C’est une première pour moi !
    
    Elle se bouge le cul doucement. Ma bite frotte sa lingerie et quand je lui agrippe le cul, elle me tape sur la main pour me dire "pas touche". Quel supplice ! Jamais je n’ai bandé si fort, jamais je n’ai été aussi impatient de baiser !
    
    Josée continue à m’exciter et se retournant et en ...
    ... s’assoyant face à moi, assis sur ma bite. Elle fait des mouvements d’avant en arrière sur ma bite comme si elle me baisait, c’était exaltant, j’étais enivré comme si j’avais abusé de l’alcool. J’avais passé la face de l’euphorie et de l’excitation. J’approchais de la phase de l’explosion.
    
    Josée se met alors à accélérer son mouvement. Des gémissements sortent de ma bouche. Elle me regarde dans les yeux et se met à se sucer les doigts de façon sensuelle. Sa langue se promène en titillant sa douce peau. Ses lèvres charnues se referment sur sa phalange comme si elle me faisait une pipe.
    
    Instinctivement, dans ma tête, je vois ma queue y prendre place et ses lèvres glisser tout au long de ma hampe. Sa langue titillant mon méat, sa salive glissant le long de ma verge. Une chaleur envoûtante qui consumerait ma queue tout entière, la transformant en un brasier digne des enfers. Je sens presque la sensation de ses doigts qui me caressent les bourses pendant que sa langue continuerait de se tortiller sur ma verge, tel un boa qui empoigne sa proie. Je ressens un picotement au niveau de mon petit trou, invitant ses autres doigts à s’occuper de lui.
    
    Mes gémissements augmentent au gré de la vitesse de ma maîtresse et de mon imagination débordante. Le plaisir part dans mon corps comme une onde électrique, de la tête aux pieds et des pieds à la tête, se terminant à tout coup, au bout de mon gland, excité par le mouvement lascif de ma douce. Sans prévenir et sans contrôle, dans un dernier ...