Des collègues entreprenantes (7)
Datte: 13/02/2023,
Catégories:
Partouze / Groupe
Auteur: papou1973, Source: Xstory
Quelques jours plus tard, je reçois un appel de Josée qui me dit avoir besoin de me voir.
Je regarde mon agenda et la rappelle pour prendre rendez-vous. Quand elle répond et me reconnait, sa voix devient chaude et mielleuse et elle me demande un rendez-vous le matin car c’est plus tranquille à la maison...
Le matin venu, je me présente chez elle et quand elle vient m’ouvrir, mon regard se fixe sur elle: Josée est habillée d’une robe de chambre de satin noir qui n’est pas attachée et en dessous, je peux y apercevoir un déshabillé de dentelle noire assorti.
Une fois ma surprise passée, j’entre et ferme la porte. Josée s’avance vers moi, un sourire coquin et sa main vient me toucher la bosse qui grossit de plus en plus dans mon pantalon. Lentement et en me fixant droit dans les yeux, elle frotte sensuellement cette bosse, ce qui inévitablement, la fait grossir encore plus.
Quand elle entend un soupir sortir de ma bouche, elle me prend par la main et sans un mot, elle me dirige vers le divan et en mettant une pression sur mon épaule, elle me fait savoir que je dois m’asseoir. Ce que je fais.
Elle se dirige vers la chaîne stéréo et une musique suave sort des enceintes: Lila was here de Dave Stewart et Candy Dulfer.
Elle se retourne vers moi et se met à se déhancher langoureusement, en suivant la cadence de la musique. Rapidement, la robe de chambre de satin descend des épaules qui se dénudent et sur lesquels ses cheveux noirs viennent se frotter au rythme de ...
... sa danse. Je vois la robe de chambre descendre doucement, le long de son corps de déesse: après les épaules, le dos, les fesses et doucement, celle-ci atterrit au sol en effleurant ses chevilles.
Mon amante est debout devant moi, vêtue de son déshabillé de dentelles noires. Elle avance vers moi et s’humidifie les lèvres en y passant doucement, coquinement la langue sur leur pourtour... Rendue devant moi, toujours en silence, elle s’agenouille et frotte la bosse qui ne veut qu’exploser dans sa prison de tissu.
Elle me regarde dans les yeux et ses mains viennent déboucler la ceinture de mon pantalon. Lentement, en se léchant les lèvres, elle tire sur la ceinture et l’enlève. Une de ses mains se dirige vers le bouton de mon pantalon pendant que l’autre, descend lentement la fermeture éclair. Mon réflexe est de me soulever les fesses afin que Josée tire doucement sur mon pantalon pour me l’enlever. Tranquillement, elle tire pour les descendre en glissant ses mains chacune leur tour et qu’ainsi, cela me caresse les cuisses. Une fois rendue aux genoux, Josée cesse de descendre le pantalon et recommence à frotter ma queue à travers le fin coton de mon boxer. Ma queue n’en peut plus et le gland survit de dessous l’élastique afin de prendre l’air. À ce moment, Josée me regarde avec son sourire enjôleur et se relève. Elle recommence à danser sensuellement devant moi, je m’aperçois alors que la chanson a changé. En fond de trame, j’entends Shakira et la guitare de Carlos Santana, ...