Série insolite. Épisode 9 : « Bertrand » La patronne baise avec son apprenti.
Datte: 11/02/2023,
Catégories:
Entre-nous,
Hétéro
Auteur: Perruche, Source: Hds
... m’embrassa avec fougue et se retourna, à plat ventre sur le bureau :
— Prends-moi par derrière Bertrand. Baise-moi plus fort.
je ne me fit pas prier, j’aimais cette position, je pouvais m’enfoncer un peu plus dans le vagin. Je la ramonais, cependant Denise ne me trouvait pas assez sauvage dans ce rapport, ça ne lui convenait pas :
— Plus fort ! Vas-y ! Baise-moi plus fort.
Je n’avais jamais sodomisé une femme, son anus devant les yeux m’avait tout retourné et sans me contenir, je lui répondis :
— Ah t’en veux salope et bien je vais t’en donner. Prends-ça !
Sans qu’elle n’ait eu le temps de réagir, ma bite avait pris possession de son cul, je l’enculais malgré sa petite protestation du départ. Au vu des petits cris de plaisir qu’elle poussait, j’avais vu juste et je savais être brutal, pour son plus grand plaisir. je m’en donnai à cœur joie, je l’attrapais par les hanches et la pénétrais avec force. Ce fut à grands coups de boutoir et avec endurance que je fis prendre à ma patronne, un troisième orgasme avant que je me vide sur sa raie après avoir retiré ma capote. Denise m’avait embrassé sur les lèvres en me disant : « Merci mon petit mais sache Bertrand que c’est moi qui commande, je ne t’avais pas demandé de m’enculer. »
Depuis ce jour au garage, à chaque occasion, Denise m’appelait dans son bureau, elle ne voulait plus baiser avec Claude qui se demandait bien ce qu’il avait fait. Le temps de passer me laver les mains aux sanitaires, je rejoignais ...
... discrètement ma patronne et la baisait suivant ses désirs. Très vite ce fut elle, qui me demanda d’aventurer mes doigts sur sa petite rondelle avant que je la sodomise, elle adorait ça en fait mais le premier jour, elle n’avait pas supporté que je la domine.
Malheureusement cela ne dura pas, quelques mois plus tard, en octobre 1996, je fus convoqué chez le patron. Paul P m’aimait beaucoup mais il fallait qu’il mette les choses au clair :
— Bertrand ! C’est difficile à te dire ces choses-là… Mais tu dois être au courant. Comme beaucoup dans la commune le pensent, ma femme me trompe depuis longtemps. J’ai toujours fermé les yeux mais là ça va trop loin. Je lui ai donné un ultimatum, si elle te demande de coucher avec elle, tu dois refuser.
— Mais Monsieur P…Je…
— Je ne veux pas savoir si tu l’as déjà fait ou pas, je te mets en garde. Denise est capable de baiser avec toi avec plaisir, elle a certains arguments pour convaincre n’importe qui et ce ne serait pas forcément de ta faute. Maintenant si, car tu es averti.
— Bien Monsieur P, je ne veux pas vous décevoir.
— Je sais Bertrand, tu es un bon jeune, tu bosses très bien et tu apprends vite. Quand Claude partira dans quelques années, après le BP je t’embaucherai, je te le promets.
J’avais tenu ma promesse, après en avoir parlé à Denise qui était déjà au courant, nous avions interrompu immédiatement notre relation. À l’atelier, je progressais très vite, les compétences des deux mécaniciens étaient complémentaires ...