Série insolite. Épisode 9 : « Bertrand » La patronne baise avec son apprenti.
Datte: 11/02/2023,
Catégories:
Entre-nous,
Hétéro
Auteur: Perruche, Source: Hds
Mercredi 12 mai 2021 10 heures
Je m’appelle Bertrand, je suis né en 1977. N’étant pas fait pour les grandes études, en septembre 1995 mon père, connaissant bien la patronne d’un petit garage dans de la ville où nous habitions, me fit embaucher comme apprenti mécanicien. Cette affaire fonctionnait bien, la patronne s’occupait de la petite station-service, toute la mécanique était l’affaire de Monsieur P et de son employé. Claude avait l’âge du patron, connaissant parfaitement le métier, il fut mon tuteur pendant toute la durée de mon apprentissage. Paul P avait 54 ans à l’époque, il s’était marié tardivement avec Denise, de douze ans sa cadette, avec laquelle, ils avaient eu une fille, Sabine, âgée de 13 ans.
Denise P avec ses 42 ans était encore très désirable, malgré sa masse corporelle au-dessus de la moyenne. C’était une femme légèrement enrobée, avec une superbe poitrine généreuse et un fessier rebondi. Heureusement, elle était grande, ce qui lui affinait la silhouette. Elle portait toujours des tenues moulantes à l’excès, dont les décolletés plongeants mettaient en valeur ses gros seins, j’adorais cela. Elle n’était pas d’une très grande beauté mais avec son maquillage et son sourire permanent, elle était courtisée. Au niveau réputation, Denise était considérée comme infidèle, suivant les rumeurs, elle avait eu une relation adultère par le passé, avec Claude son employé et depuis, elle n’hésitait pas à tromper son mari avec certains clients. (Je pense que mon ...
... père en faisait partie.)
Tandis que Paul était vu comme un homme gentil, serviable et très compétent dans son métier, seulement c’était peut-être le seul à ne pas savoir qu’il était cocu, ou s’il le savait, il ne le montrait pas. Il était en permanence en train de travailler dans son garage. Je m’en étais vite rendu compte, dès les premiers rendez-vous avec Denise, j’avais vu dans son comportement envers moi, que cette femme n’hésiterait pas un seul instant à me mettre dans son lit. Ce n’était pas pour me déplaire, je fantasmais depuis longtemps sur cette femme mûre et si l’occasion se présentait un jour, je ne me gênerais pas de la satisfaire. Néanmoins, je savais qu’il ne fallait pas me faire de films, je n’avais que 18 ans ?.
J’allais en être fixé, le jour de mon embauche, je fus reçu par la patronne qui devait s’occuper de moi toute la matinée. Visite des locaux, habillement, horaires, règlement intérieur et signature des contrats. Toute la matinée, je n’avais pu me concentrer, j’avais bandé pendant trois heures durant. Toutes les occasions étaient bonnes pour Denise pour me toucher, pour m’exposer sa poitrine devant les yeux, surtout lors de la lecture des contrats, lorsqu’elle se pencha derrière moi en passant sa main au-dessus de mon épaule me montrant de son doigt l’emplacement de la signature.
À ce moment-là, j’avais la tête entre ses seins qu’elle appuyait sans pudeur. Le comble fut dans le petit local à l’arrière de son bureau où étaient entreposés les ...