Série insolite. Épisode 9 : « Bertrand » La patronne baise avec son apprenti.
Datte: 11/02/2023,
Catégories:
Entre-nous,
Hétéro
Auteur: Perruche, Source: Hds
... vêtements. Elle me tendit une combinaison et un teeshirt à l’effigie du garage, en me demandant de les essayer :
— Allez Bertrand ne soit pas timide. Essaye-les ! Si ceux-ci ne sont pas à taille je t’en passerai d’autres.
Ne m’ayant pas laissé me changer seul, dans ce minuscule endroit, je fus contraint de me dévêtir devant elle. Je n’étais pas pudique au contraire, cependant je ne pus dissimuler l’érection que j’avais dans son boxer. Pendant l’essayage, elle m’aidait à m’habiller en me flattant sur sa corpulence et sa musculature :
— Je ne pensais pas que tu étais si musclé Bertrand. Tu es un homme, un vrai. Me dit-elle en passant ses mains agiles et délicates sur mon torse et sur mes abdos.
Elle avait dû faire exprès car la taille était bien trop grande, je dû recommencer. Ses caresses ne faisaient qu’augmenter mon désir, je bandais comme un taureau, je commençais à me demander si je ne devais pas la baiser immédiatement. Mon envie, de l’attirer à moi de la prendre dans mes bras pour l’embrasser, lui peloter ses nibards, m’obsédaient, c’était très présent dans son esprit mais la raison fut plus forte. C’était mon premier jour, je ne voulais pas tout gâcher en pensant que cette femme me tendait peut-être un piège. Je pris la décision d’attendre qu’elle fasse réellement le premier pas.
Quand je fus habillé, elle passa derrière moi, me prit par la taille en se collant contre mes fesses. Elle posa sa main droite sur mon entrejambe, en me massant le sexe et me ...
... dit doucement à l’oreille :
— Tu ne peux pas rester comme ça. Attends !
Je ne pouvais plus attendre, c’était le moment d’attaquer, je voulus me retourner mais elle m’en empêcha :
— Tu ne crois pas que je vais coucher avec toi, Bertrand, je pourrais être ta mère. Dit-elle en descendant le zip de ma combinaison. Laisse-moi faire ! Poursuivit-elle en me faisant une bise dans le cou.
Elle glissa sa main droite dans mon boxer et sortit ma queue de sa prison. Toujours collée dans mon dos, sa main gauche emprisonna mes testicules pendant qu’elle commença à monter et descendre son autre main sur ma colonne de chair. C’était inimaginable, je fermai les yeux et penchai ma tête en arrière, je gémissais, sous ces caresses, ses mains étaient douces, je n’avais jamais connu une telle masturbation, le bout de son doigt passait régulièrement sur mon méat d’où s’écoulaient sans cesse, ce liquide doux et transparent qu’elle répandait sur toute la surface de mon gland. Denise était une experte, elle me triturait les couilles à la limite de la douleur pendant qu’elle glissait ses doigts de fée sur la hampe lentement :
— Hum ! Oui, je viens ! Dis-je.
Elle n’accéléra pas le mouvement pour autant, elle m’enferma le bout de ma queue dans la paume de sa main, je me contractai quand dans un râle indescriptible j’éculais une quantité énorme de sperme qu’elle essuya avec le teeshirt que j’avais essayé quelques minutes plus tôt et en me faisant une bise sur la joue :
— Tu ne diras rien ...