1. Hélène (49)


    Datte: 11/02/2023, Catégories: Lesbienne Auteur: rouge22, Source: Xstory

    Hélène : La contre-visite : troisième partie
    
    Je me réveille en sursaut, seule la faible lueur du réveil luit dans l’ombre de la chambre, il est quatre heures trente. Je ne me souviens que vaguement de ce qui s’est passé après ma jouissance.
    
    Elles m’ont détachée, puis conduite vers le lit, où elles m’ont déshabillée. Elles m’ont couverte d’une couette moelleuse, et se sont glissées, nues, chacune d’un côté, me prenant dans un étau voluptueux. J’ai sombré dans le sommeil.
    
    Je peux distinguer à ma droite la blondeur de ma bourrelle, et sur la gauche, la masse sombre de la chevelure de mon autre maîtresse. Je referme les yeux, je projette les événements de la soirée sur l’écran de mes paupières. Je glisse ma main entre mes cuisses, et je commence à me caresser. Je suis en train de pousser un soupir quand une main se plaque sur ma bouche, une autre me bloque entre mes jambes.
    
    — Chut, vous allez la réveiller.
    
    J’ouvre les yeux, au-dessus de moi, je distingue la chevelure d’Hélène.
    
    — Vous n’êtes pas très discrète.
    
    — J’ai fait un rêve érotique, et il faut bien que je me soulage !
    
    Ses doigts écartent les miens et fouillent mon sexe, écartant mes lèvres et plongeant dans ma vulve trempée.
    
    Au passage, elle griffe légèrement mon bourgeon, m’arrachant un petit aïe.
    
    Elle me branle doucement. Puis un doigt se glisse dans mon petit trou.
    
    — Pas par-là, c’est encore un peu douloureux.
    
    — Je m’en moque, c’est moi qui commande, et je fais ce que je veux.
    
    — ...
    ... Mais...
    
    — Il faut que vous y fassiez, Mel ne vous prendra plus que par-là, et elle poursuit.
    
    — Vous devez apprendre à vous donner par là, à genoux, c’est la position préférée de votre maîtresse, elle enchaîne à voix basse.
    
    — Et vous devrez aussi apprendre à vous agenouiller et tendre votre cul pour le fouet, vous verrez, c’est très bon.
    
    Elle embrasse mon sein, et aspire mon mamelon. Ses phalanges s’agitent dans mes deux orifices. Je glisse ma main gauche dans sa chevelure pour appuyer sa bouche sur mon téton.
    
    Elle me branle avec vigueur. J’ouvre et je ferme spasmodiquement mes cuisses.
    
    L’orgasme monte. Je mords mon poing pour ne pas crier. Je me cambre. Elle croque ma framboise. Le flash, je pars.
    
    Elle dégage sa main de mes cuisses serrées. Je roule sur le côté, je me pelotonne contre elle, en chien de fusil. Je cale ma cambrure contre son petit ventre si chaud et si confortable.
    
    J’attrape son poignet, pour qu’elle empaume mon pauvre nibard martyrisé.
    
    — Trop bon !!! fais-je à voix basse, avant de m’endormir.
    
    Je suis réveillée par un bruit d’eau. Normal, la salle de bain n’est séparée de la chambre que par un mur de pavés de verre translucide.
    
    Les deux femmes me tournent le dos. Mél savonne le dos de sa belle, puis glisse sur ses fesses.
    
    Sa main se faufile entre les miches pour une toilette plus intime. La brune se penche en avant pour faciliter l’accès de son sillon. Deux doigts enduits de savon s’insinuent dans son œillet et le massent, puis ...
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