1. Une aventure immobilière


    Datte: 11/02/2023, Catégories: fh, fplusag, Collègues / Travail Oral pénétratio, fsodo, occasion, Auteur: Jacquou, Source: Revebebe

    C’est l’histoire d’un locataire, car après tout, pourquoi les locataires n’auraient-ils pas le droit d’être le héros d’une histoire ?
    
    Ryan habitait un studio dans le même quartier que l’agence immobilière qui le lui avait loué. Une petite blonde boulotte le lui avait fait visiter et lorsqu’il était venu à l’agence signer le bail, son regard s’était porté sur la directrice, une quadra au regard dur d’executive woman. Lorsqu’elle s’était levée pour le saluer, au sourire sans chaleur, en bonne commerçante, il avait pu mesurer sa plastique impeccable, seins agressifs, fesses rondes, cuisses solides, le tout perché sur des talons hauts qu’elle faisait claquer sur le plancher avec un air décidé.
    
    Que se passa-t-il alors dans la tête de Ryan ? Est-ce parce que la directrice l’avait déjà oublié trente secondes après l’avoir vu ? Est-ce le mouvement rotatif de son cul moulé dans le jean et l’agitation de ses seins à chaque pas sous la toile légère d’un corsage partiellement déboutonné ? Toujours est-il qu’il conclut d’un lapidaire : « c’est une femme qui baise ». Et ce n’est pas l’alliance qu’elle portait à la main gauche qui allait chasser de son esprit le puissant attrait érotique qu’elle lui inspira ce jour-là. Contre toute logique immédiate, il fit de cette directrice d’agence, dont il ne connaissait ni le nom ni le prénom, sa prochaine cible. Sa dégaine de trentenaire athlétique et gouailleur lui procurait de nombreux succès féminins. Du reste, l’employée de l’agence qui ...
    ... s’était présentée sous le prénom d’Adèle était parfaitement disposée à se laisser draguer, à en juger par sa propension à lui mettre ses gros nichons sous le nez pendant qu’il visitait le studio en sa compagnie. Mais c’était sa patronne qu’il voulait baiser. Même si cela paraissait illusoire.
    
    Les jours suivants, il passa régulièrement devant l’agence. La directrice sortait souvent sur le trottoir fumer sa clope, en général un téléphone collé à l’oreille. Il tentait bien de capter son regard, mais c’était comme s’il était devenu transparent. Pire encore : il la vit un dimanche en compagnie de ses deux enfants et de son mari regagner leur voiture pour une sortie quelconque. Mariée et mère de famille, donc. Et pourtant, il en restait convaincu : « c’est une femme qui baise ». Il se référait à une intuition forte et à sa propre expérience des femmes quadragénaires au physique attrayant, mais lassées sexuellement de la routine de couple après plusieurs années de vie commune. Combien en avait-il baisé, de ces femelles avides de sexe brut avec un gars plus jeune qui leur donnait l’illusion d’avoir encore trente ans ? Il en avait déduit que « la femme de quarante ans est celle qui baise le mieux parce qu’elle est encore fraîche et parce qu’elle n’a plus de tabous ». On pensera ce qu’on voudra de cette vision, mais enfin, c’est ce qu’il croyait.
    
    Il n’empêche : l’affaire s’annonçait mal. Rien ne laissait supposer dans l’attitude de cette femme une envie d’adultère,a fortiori avec ...
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