Le projet artistique (64)
Datte: 10/02/2023,
Catégories:
Partouze / Groupe
Auteur: Yojik, Source: Xstory
... de plaisir. Elles, comme moi, n’avaient pas eu de sexe digne de ce nom depuis la veille et en plus nous savions ce que les autres avaient fait. Après quelques messes basses, Jutta me demanda :
— Sylvie, on se demande pour Maxime. On ne lui plait pas trop, tu crois ?
—Si, si. Bien sûr. Pourquoi?
— Euh, il ne nous a pas paru très... intéressé, se risqua Svenja.
Soudain je m’aperçus qu’elles n’avaient pas tout à fait tort. Maxime avait eu l’occasion de nous chauffer entre deux cours la veille ou même pendant que nous travaillions sur Kant en début d’après-midi. Mais il était resté assez réservé. C’était quand même bizarre et ne lui ressemblait pas tant que ça. Je savais que je lui plaisais. Nous avions bien baisé ensemble l’année précédente, lors de révisions. Après, nous n’avions pas eu beaucoup de temps ni de tranquillité. Ça n’aidait pas forcément. Là nous allions être seules avec lui dans l’internat pour un moment.
— Vous voudriez éventuellement baiser avec Max ?
— Pourquoi pas ? Peut-être pas si loin s’il n’a pas envie... Mais au moins s’amuser un peu.
—Alors, Svenja, nous n’avons qu’à le chauffer nous-mêmes, proposai-je.
—Toi aussi, tu aurais envie?
—Oui, Jutta. Carrément, j’ai besoin de me libérer de toute cette tension sexuelle...
J’exposai alors mon plan aux filles qui approuvèrent mon idée. Arrivées à l’internat, Maxime nous attendait déjà. Les autres gars étaient partis depuis un moment. J’eus soudain une crainte, qu’ils se sont branlés ...
... ou sucés entre mecs sous la douche. Je posai la question comme si je le taquinai mais Maxime nous rassura en nous disant que les autres étaient pressés de retrouver le groupe. Nous étions toutes les trois soulagées.
Jutta proposa de s’installer sur nos lits, côté filles pour terminer notre étude de texte. Maxime râla un peu faisant remarquer que ça n’allait pas être très pratique pour travailler mais en insistant un peu et en papillonnant des paupières les Allemandes le firent céder facilement. Nous nous mîmes alors au travail. Durant les quarante-cinq minutes qu’il fallut pour terminer ce devoir, nous jouâmes de nos charmes. D’abord subtilement en faisant sauter un bouton ou deux de nos polos ou chemisiers. En remontant discrètement nos jupes au-dessus du genou plus que nécessaire. Je voyais bien, comme Jutta et Svenja, que Maxime avait vu notre petit manège. Il esquissait des sourires à ce qu’il voyait mais n’en profitait pas pour nous poser une main sur la cuisse ou ailleurs. Même en allant plus loin, il n’osa pas poser autre chose que son regard sur nous. C’était limite vexant ! Non, c’était vexant !
Pourtant, nos soutiens-gorges étaient visibles, les jupes avaient même remonté assez pour qu’il puisse voir nos dessous. Nous avions aussi ajouté quelques clins d’œil, des sourires grivois. Nous passions sensuellement nos langues sur nos lèvres. Jutta en vint même à faire glisser son index le long de sa vulve par-dessus son collant. Je vis bien Maxime devenir rouge et ...