Le projet artistique (64)
Datte: 10/02/2023,
Catégories:
Partouze / Groupe
Auteur: Yojik, Source: Xstory
... Elles avaient surtout pris un pied d’enfer à ce qu’il me semblait. Jutta, Svenja, Maxime et moi étions les seuls à ne pas nous être amusé ce jour-là. Encore que nous avions eu un réveil des plus sympathiques. Elisa, Hanna, Dieter et Paul avaient aimé entendre tout ça mais semblaient beaucoup mieux se contenir que moi. Ils dinèrent avec nous mais nous laissèrent nous doucher sans eux. J’aurais bien aimé avoir quelques attentions mais ceux qui avaient eu quelques amusements n’étaient plus trop dans le bon état d’esprit. A côté de ça je me serais bien fait prendre par Maxime ou lécher par Jutta mais je ne me voyais pas faire ça alors que les autres allaient juste nous regarder. Je pensais avoir une occasion plus tard dans la soirée mais je me trompais.
La préparation du tournage nous prit pas mal de temps et les Allemands piquèrent assez vite du nez. Ils avaient un peu de mal à se faire à nos journées à rallonge. La nuit précédente j’avais dormis avec Jutta et j’espérais changer pour pouvoir baiser avec un gars pendant la nuit. Mais je partageais mon pieu avec Peter qui était trop épuisé pour réellement me satisfaire. Il me prodigua quelques douces caresses mais, au final, cela me frustra plus que cela me soulagea. Le lendemain matin, le réveil se fit difficilement. Nous étions en retard ! Pas le temps pour les galipettes, malgré l’érection matinale et prometteuse de mon colocataire de lit. Ida et Svenja avaient dormis avec les jumeaux et Maxime avec Ida.
Avant notre ...
... première heure, je pus leur demander s’ils avaient fait des trucs la veille. Ils me dirent que non et je compris à leur façon de me répondre qu’ils en auraient bien eu besoin. Les mauvaises nouvelles s’enchainèrent pour nous. Comme nous avions des Allemands avec nous, notre professeur de philosophie trouva que c’était une bonne idée de travailler sur une œuvre de Kant, pour le lendemain ! Toute la classe avait tiré une tronche de six pieds de longs.
Au déjeuner, il fallut bien s’avouer que nous devions travailler sur ce texte. Nous nous y attelâmes avec Maxime dès la fin du repas. Les autres avaient prévus de faire une sortie avant de se rendre à nos activités sportives respectives. Ils décalèrent la sortie pour après nos séances de sport. Avec l’aide de Jutta et de Svenja qui, par chance, connaissaient bien ce philosophe et surtout l’œuvre en question, nous pûmes avancer sans trop de complications.
Néanmoins, quand il fallut partir danser, pour les filles, et boxer, pour les garçons, nous n’avions pas tout à fait fini. La mort dans l’âme Maxime et moi devions donc renoncer à notre sortie en groupe pour retourner travailler. Les deux filles se proposèrent de rentrer avec nous afin de nous aider une nouvelle fois. Je les en remerciai vivement. Mais leur sollicitude m’étonnait quelque peu. Sur le chemin du retour après une séance de danse assez décousue mais joyeuse, je me décidai à leur poser la question. Elles m’avouèrent qu’elles rentraient aussi pour s’octroyer un moment ...